Posts published on "juillet 2018" — Page 2

Mériter sa chance

Jacalyn Beales

Avez-vous tendance à vous plaindre ou à penser que vous méritez plus que ce que vous avez? Pendant longtemps dans ma vie, j’avais l’impression d’avoir un petit nuage noir au-dessus de ma tête, comme si la vie s’acharnait à me donner de la misère. Malgré cela, certaines personnes ont croisé ma route et m’ont fait réaliser que ce qui occupe notre esprit devient ce qu’on attire autour de soi. Donc, si je passais mon temps à penser à ce qui n’allait pas, à ce qui me dérangeait, c’est comme si je lançais le message que c’est, au fond, ce que je désirais recevoir.

Ça peut sembler ésotérique et je me souviens très clairement de la première fois où j’ai été confrontée à ce concept. Mon premier réflexe? D’en rire! Je trouvais cela complètement ridicule et farfelu. Pourquoi? Parce que j’avais probablement peur du pouvoir que j’avais sur ma propre vie et des impacts qu’un tel changement de mentalité pouvait provoquer. Pourtant, après quelques lectures inspirantes, j’ai assimilé tranquillement le concept et j’ai commencé à penser qu’il y avait peut-être du vrai dans tout ça…

Lentement, une transformation s’est opérée en moi. J’ai commencé par essayer, à tous les matins, de trouver un point positif à ma vie. Parfois, je manquais d’inspiration et le même thème revenait fréquemment. Mais je persistais et continuais à tenter de changer mon état d’esprit. Et, à ma grande surprise, ça fonctionnait. J’avais l’impression que les gens étaient moins brusques envers moi, que j’étais témoin de moins d’agressivité, de perturbation et d’éléments négatifs.

Puis, j’ai commencé à écouter la petite voix en moi, celle que je taisais depuis longtemps, sur laquelle je piochais à grands coups de pelle imaginaire pour ne pas être dérangée dans ma spirale… J’ai alors saisi que cette voix était là pour me guider et non me nuire. Par moment, la route qu’elle me proposait me semblait incongrue mais j’ai appris à lui faire confiance et elle m’a mené au bon endroit. Les détours, nécessaires, servaient d’apprentissage.

J’ai ensuite décidé de prendre le risque d’en parler, de partager cette expérience avec mon entourage. Certaines personnes ont réagi comme moi au départ, jugeant le tout comme loufoque et absurde. Et je les ai laissé avoir leur opinion car je savais à quel point on pouvait être loin d’une telle mentalité. Je savais aussi qu’un jour, la vie ferait en sorte de les exposer à cette façon de voir les choses, au moment opportun.

Depuis un certain temps maintenant, je lâche prise sur ce que je ne contrôle pas, je laisse le passé derrière moi et je tente d’être le plus possible dans l’instant présent. Je sais que cette formule est surutilisée mais elle demeure vraie et pertinente. Ce qui est derrière nous ne peut plus être changé. Alors pourquoi laisserait-on ces événements affecter notre vie d’aujourd’hui alors qu’ils sont déjà histoire du passé? Ce n’est pas toujours évident d’agir ainsi mais je peux vous garantir que c’est ce qu’il y a de mieux pour notre santé mentale.

Laisser aller ce qui n’a plus d’emprise sur nous est un exercice ardu quand on est habitué de tout contrôler mais ça change une vie. Rien n’est parfait et les gens ne penseront pas tous comme nous. Tout comme il y a plusieurs chemins pour se rendre quelque part, plusieurs pensées peuvent mener au même résultat. Laissons donc la vie nous guider sans se préoccuper des moyens ou des routes que les autres empruntent. On mérite tous le bonheur mais chacun en a sa propre définition et vision. Vivre et laisser vivre, ça vous dit?

 

Photo : Unsplash | Jacalyn Beales

Quand tout va bien…

Olivier Collet

Je le dis d’emblée, j’ai eu une fin de semaine parfaite. Un super événement vendredi soir : bbq hawaïen et cours de SUP sur le Lac Mercier, à Tremblant. Cela suivi d’une journée à descendre la rivière du Diable sur des lits pneumatiques : on peut dire qu’on a profité du beau temps au maximum. Et, question de continuer en beauté, nous avons eu la chance d’assister à la première du film 1991 de Ricardo Trogi, le tout précédé d’un excellent brunch.

J’ai joué dans l’eau comme dans mon enfance, je me suis amusée comme si j’avais 8 ans, j’ai pataugé à en être fripée de partout, j’ai savouré chaque seconde de plaisir. Honnêtement, je ne me souviens plus de la dernière fois qui m’a permis d’autant décrocher. Et dire que j’étais à peine à un peu plus d’une heure de chez-moi… Comme quoi, le bonheur, on n’a pas besoin d’aller le chercher bien loin!

Et j’étais dans mon élément, les Laurentides, avec du monde comme moi. Je n’enlève rien aux gens urbains, on a juste chacun notre style et nos intérêts. Moi, la forêt, la rivière, les lacs, la nature partout autour de soi, ça me rend particulièrement heureuse. Mais c’est aussi les gens que j’y ai vu. Des amis sont venus me rejoindre mais j’ai aussi rencontré de nouvelles personnes, fait la connaissance de laurentiens qui respire le calme et la sérénité. Tsé du monde qui ne connaisse pas ça, être pris dans le trafic tous les matins…

J’ai fait le plein de bonheur, j’ai ri de bon cœur et je me suis reconnectée avec mon milieu. Je n’ai pas besoin de prendre un avion, de parcourir le monde pour ressentir ce sentiment de liberté tant recherché. Et plus je le constate, plus je réalise que j’ai beau avoir quitté ma région pour étudier et travailler dans mon domaine, la région, elle, ne m’a jamais quitté.

Quand on est jeune et qu’on habite en région, on veut aller en ville souvent pour voir autre chose, pour élargir nos horizons. Mais au fond de nous, il reste toujours cette connexion profonde, ce sentiment bien ancré en nous. Je ne me sens jamais aussi bien que quand je suis entourée d’arbres. Quand je ne vais pas bien, le premier lieu qui me vient en tête pour me ressourcer, retrouver mon état de calme, c’est la forêt ou sur un quai, avec une vue sur le lac et les montagnes.

Jamais je ne renierai mes racines et je peux imaginer que quiconque débarque ici, d’un autre pays, d’un autre continent, doit profondément être ébranlé. Je ne pourrais pas m’imaginer être arrachée de mon monde naturel, me séparer de ces éléments nécessaires à mon équilibre. Autant j’apprécie un bon restaurant ou un spectacle grandiose en ville, autant j’ai besoin de me retirer dans le calme par la suite.

Ces beaux moments de pure extase se sont terminés de manière un peu abrupte quand mon véhicule m’a donné des signes de fatigue hier, sur le chemin du retour. Un petit souci de transmission qui me rappelle à quel point je ne connais rien en mécanique. Et qui me fait réaliser que mon fond d’anxiété n’est jamais bien loin… La boule dans le ventre est apparue dès que les premiers symptômes de soucis mécaniques se sont pointés.

Mais j’arrive maintenant à maîtriser la bête et je sais que, peu importe ce qui surviendra dans ma vie, tout est correct. Dans ce temps-là, je me dis qu’au pire, je serai en panne, j’appellerai l’assistance routière et que tout rentrera dans l’ordre. Je n’ai pas eu à le faire mais je sais que nous sommes dans un coin du monde où je ne suis pas en danger. Et juste de savoir cela, je me sens privilégiée. Alors je me remémore mes beaux moments des derniers jours et je me dis que la vie, elle est vraiment belle…

 

Photo : Unsplash | Olivier Collet

Prendre son élan

Becca Tapert

Je constate de plus en plus que, souvent, s’écouter, ça signifie faire des choix difficiles. Vous savez, ces choix qui peuvent créer des secousses dans notre entourage, professionnel comme personnel. Mais, quand on sent au fond de soi que c’est la bonne voie, que c’est notre chemin, je crois qu’on doit sincèrement assumer ces impacts, tenter de bien expliquer mais aussi, lâcher-prise. La réaction des autres ne nous appartient pas…

Il y a longtemps, j’ai suivi une formation en massothérapie. J’avais une écœurantite aigüe d’être devant un écran et en position assise trop longtemps. J’avais besoin de me prévoir un plan b, une porte de sortie pour le jour où j’en aurais ma claque. Ce revirement n’a jamais eu lieu finalement mais je n’ai jamais regretté d’avoir acquis ces connaissances sur le corps humain. Toutefois, ce qui me revient beaucoup de cette période, c’est ce sentiment de n’être à ma place nulle part.

J’ai passé des années à me chercher, à essayer de trouver, à l’extérieur de moi, ce qui allait me combler. Je ne comprenais pas que je devais soigner l’intérieur pour que le brouillard se dissipe et que je trouve ma route. Ça peut avoir l’air cliché mais il reste que ça a été ma réalité, pendant très longtemps. J’errais sans que personne ne se rende compte autour de moi du vide qui m’habitait.

Puis, tranquillement, j’ai commencé à m’enraciner et à déceler des émotions, de joie ou d’alerte, de peine ou de calme. Ce fut un processus long, parfois pénible (quand tu es habituée à être complètement coupée de tout et que tout à coup tu ressens, ce n’est pas évident). Et quand j’ai senti que j’étais assez solide, j’ai commencé à m’affirmer plus, à dire ce que je n’aimais pas, avec fougue d’abord puis avec plus de modération. C’est que, voyez-vous, comme dirait François Pérusse, je me trompais dans mes volumes, dans mes premiers essais.

Mine de rien, quand tu joues un jeu, que tu revêts les parures d’un personnage pendant si longtemps, le fait d’être toi-même peut paraître incongru, voire même inconfortable au début. Et affirmer à voix haute ce qui se cache au fond de soi, ça fait peur. Alors pour me donner de la contenance, je le disais fort. Drôle de façon de faire qui m’a parfois fait sursauter moi-même…

Mais j’ai appris, j’ai fait des erreurs et j’ai saisi les nuances. Je m’enfarge encore, parfois, aujourd’hui. Car j’ai aussi compris qu’on n’est pas parfait et qu’on ne le deviendra jamais. On est vivant, on évolue, on se transforme, de jour en jour. Comme tout ce qui vit. Alors de viser la perfection ne fait que nous éloigner de notre essence. Mieux vaut être soi et imparfait que d’être lisse et bien mise mais souffrir intérieurement…

J’en ai parlé récemment, cette année, j’essaie des affaires, je tente de nouvelles expériences, je risque des chemins inconnus. Je me trouve bien drôle, à l’aube de la quarantaine, de ressentir ce besoin de sortir des sentiers battus, comme les jeunes le font dans la vingtaine. Mais j’ai réalisé que ma vingtaine, je l’ai vécue emmurée dans ma carapace d’anxiété et que, donc, je n’ai jamais osé essayer quoi que ce soit qui aurait pu me mettre hors du cadre rigide que je m’étais construit.

Décider de me tracer une route jusque-là inédite, de prendre toute sorte de trajets nouveaux, ça m’amène à rencontrer du nouveau monde aussi, de me confronter à des philosophies différentes, des angles de vues distincts. Et, au lieu d’en avoir peur, je suis soulagée. Ça me fait un bien fou de changer d’air, au sens propre comme au sens figuré. Je sais que ça viendra peut-être avec des changements de vie, des fins, des départs, des au revoir, des deuils… Mais quand on sait qu’on est dans la bonne zone, on a l’énergie d’affronter ce qui vient avec… Et, aujourd’hui plus que jamais, je me sens bien, gonflée d’une énergie nouvelle, propulsée par un élan empreint de magie et de bien-être.

 

Photo : Unsplash | Becca Tapert

Choisir la simplicité

averie woodard

Hier, une citation drôle mais remplie de sens est apparue sur mon fil Instagram : Don’t forget to drink water and get some sunlight because you’re basically a house plant with more complicated emotions. À première vue, et prise au premier degré, cette phrase peut sembler insignifiante du fait de sa comparaison entre l’humain et la matière végétale. Mais, quand on s’y attarde, on réalise qu’au fond, on s’attribue beaucoup trop de supériorité relativement à la flore et qu’on devrait peut-être tirer plus de leçons de ce monde vivant.

On cherche beaucoup à se valoriser, à trouver un sens à son existence, à s’accomplir et à performer mais au fond de nous, on sait pertinemment que rien d’extérieur ne nous apportera le bonheur. Ce n’est ni ce qu’on possède, ni notre rang social, ni la quantité d’amis Facebook qui aura un impact réel sur le sentiment de plénitude qui nous habitera, ou pas. Il n’y a qu’à penser au nombre de vedettes qui, malheureusement, se perdent dans les vices et les substances. Elles qui pourtant possèdent l’argent, la gloire et la reconnaissance pour leur talent…

Être plutôt qu’avoir, c’est un peu ce que nous devrions tirer comme apprentissage de l’environnement qui nous entoure. Car, outre un peu d’eau et de nourriture, de l’air pur et du soleil pour les vitamines et l’effet vivifiant, qu’a-t-on besoin réellement? Un toit, certes. Mais sinon… Rien n’importe réellement, foncièrement.

Ça me fait penser au moment où j’ai occupé un poste « haut placé », le genre de fonction que les gens t’envient sans réellement savoir ce que ça exige. J’avais des employés, des responsabilités, des avantages non négligeables, un bon salaire et surtout, une « position de pouvoir ». Mais chaque matin, je rentrais au travail, et je ne me sentais pas à ma place. Je n’avais pas l’impression d’être comblée, satisfaite, ni compétente. Pourquoi? Parce que je m’étais fait des attentes concernant cet avancement dans ma carrière et qu’au bout du compte, j’ai vite compris que tout cela n’était qu’illusion.

Alors, après quelques mois, je suis partie. J’ai quitté ce beau mirage, au grand dam de mon entourage qui ne comprenait pas ce choix purement personnel. Mais au fond de moi, je savais. J’avais déjà touché le fond auparavant, j’avais déjà des repères liés à cette sensation de décalage et surtout, je venais de perdre mon père. La vérité frappe en pleine face quand tu es à fleur de peau comme je l’étais.

J’ai peu de certitudes dans la vie mais le fait de me choisir à ce moment crucial a sans doute été l’une de mes meilleures décisions. J’ai embarqué ensuite dans un projet d’entreprise avec des amis, qui ne s’est pas avéré fructueux mais où j’ai eu plus de plaisir en une journée qu’en tout mon passage dans l’entreprise d’envergure précédente. Je me sentais appréciée, comprise et surtout, sur mon X. Je savais que j’avais plus de pression qu’avant car la livraison pesait sur mes épaules mais j’étais sereine avec ce choix. Car c’était justement ça : un choix, à contre-courant certes mais pleinement assumé.

Et depuis ce jour, je suis restée à mon compte, j’ai compris que mon style à moi, c’est de me gérer moi-même, de choisir mes mandats et d’écouter ce qui se brasse en dedans pour savoir si j’ai envie ou non des rester. Vous me direz qu’on peut être comme cela même comme employé sur un « payroll » et c’est sans doute vrai. Mais, mon modèle à moi, c’est d’être mon propre patron. C’est comme ça que je me sens bien.

Alors, je vous invite à laisser aller, à lâcher-prise sur ce qui vous pèse, sur ce qui vous empêche de respirer à grands poumons. Rappelez-vous toujours que ce qu’on possède ne nous définit pas et on n’est pas meilleur que les autres parce qu’on a de l’argent, du pouvoir ou une grosse maison. De l’eau, du soleil, un toit et de quoi se nourrir, autant pour alimenter son esprit que son estomac : c’est la base nécessaire. Parce qu’au fond, il n’y a que cela qui compte…

 

Photo : Unsplash | averie woodard

Journée de contrastes

Lesly Juarez

Hier fut une journée de contraires et de contrastes. Tout d’abord, c’était mon retour officiel à mes cours de yoga. Après une pause provoquée par une indisponibilité puis une blessure, j’ai repris le cours normal des choses, si on peut dire. Et ce fut, ma fois, presque une communion. Que j’aime cette activité, ce moment où je suis 100% concentrée sur mon corps, où ma tête se déconnecte et où je retrouve mes repères.

Souvent, on se dit qu’on n’a pas le temps, qu’on a mieux à faire ou qu’on est trop fatigué. Mais je peux vous garantir que le yoga en vaut toujours la peine et apporte son lot d’énergie renouvelée et de plaisir garanti. La plénitude qu’on ressent au sortir d’un tel cours est grandiose et les bénéfices sont puissants et prolongés. J’y ai retrouvé ma prof adorée, une yogi inspirante, posée et ultra qualifiée qui nous amène à s’enraciner et se déposer pour jouir des bienfaits de la pratique au maximum.

Mais j’ai aussi reconnecté avec une partie de moi que j’avais mise de côté, inconsciemment. Un aspect plus spirituel et riche, une zone dénuée d’égo et de performance. Et ça, c’est sans doute l’avantage le plus marquant de mon retour. Sur mon tapis, rien ne m’affecte et rien d’autre n’importe. Je suis là, totalement, entièrement et je m’efforce de respirer dans chaque partie de mon corps, de ressentir tout mais en étant bienveillante à mon égard.

J’ai parlé de contraste dans mon introduction, puisque ce fut aussi une journée où j’ai pu constater beaucoup de haine, d’intransigeance et d’intolérance sur les réseaux sociaux. Vous me direz qu’il n’y a rien de nouveau dans cela mais c’est rare que j’y porte attention, à vrai dire. En général, je me tiens loin des débats émotifs et irrationnels. Mais, pour une raison que j’ignore, hier, plusieurs personnes ont partagé des publications sous lesquelles figuraient des flots incongrus et intenses de paroles insensées.

Que ce soit concernant la grève de la SAQ, un billet humoristique sur les « What not to do » d’une première rencontre amoureuse ou sur sujet plus environnemental, j’y ai vu le plus laid des humains. Et chaque fois que j’y suis confrontée, je n’arrive pas à comprendre pourquoi les gens jugent utile de déverser ainsi leur fiel sur les plateformes numériques. Parce que, à mes yeux, cela constitue une véritable perte de temps et d’énergie. Et j’ai de la difficulté à croire que ces personnes considèrent acceptable de s’exprimer avec tant de violence sans contexte ni demi-mesure.

L’humain ne devrait-il pas mettre ses énergies sur l’amélioration de la condition humaine plutôt que dans le jugement gratuit et le fanatisme disproportionné? J’ai beau tenter de trouver un sens à cela, je n’y arrive tout simplement pas. Et, chaque fois, je me demande si mon blogue n’est pas superflu, si je n’encourage pas les gens à s’exprimer sans réfléchir. Toutefois, je suis bien heureuse de constater que les trolls se tiennent loin de moi et que les seuls commentaires ou messages que je récolte sont ceux du cœur, touché par mes mots sincères et pensées partagées avec authenticité.

La vie, elle est longue et courte à la fois. L’angle de vue dépend de ce qu’on en fait, de ce en quoi on s’investit. J’ose croire que cette expérience humaine mais virtuelle que sont les réseaux sociaux n’est qu’un passage et apportera une réflexion plus globale sur notre rapport aux autres. J’ai toujours eu la foi en nous et je présume qu’il ne s’agit que d’un passage pour nous amener ailleurs, vers du meilleur. C’est peut-être ma pensée utopiste mais je préfère cela à un laisser-aller sans gêne, tel que constaté en ligne…

 

Photo : Unsplash | Lesly Juarez