Parfois, dans la vie, il y a des moments où on doit s’arrêter, prendre le temps de se remettre sur pieds, écouter son corps et ses limites et se reposer. Ce n’est pas toujours évident et on a parfois tendance à se pousser trop loin, à croire qu’on peut encore donner un peu, à retarder le moment de l’arrêt.
Depuis plusieurs semaines, je traîne une vilaine grippe qui ne veut pas me lâcher. J’ai pris du repos, des décongestionnants, je me couche tôt, je bois beaucoup de liquides… Mais ce foutu virus ne me quitte pas, bien accroché à mon système. Ça semble sur le point de guérir puis ça revient, ça reprend le dessus. Puis, dans la nuit de mardi à mercredi, un train m’a frappé de plein fouet. J’ai bien tenté de me lever hier matin mais sans succès. Comme si on m’avait cloué dans mon lit, littéralement.
Et j’ai lâché prise comme on dit… De toute façon, je ne pouvais pas faire autrement, mon cerveau était à off.
Alors si vous attendiez mon billet de blogue, il n’est jamais arrivé et voilà pourquoi. Et disons qu’aujourd’hui, mis à part de mea culpa, je n’irai pas plus loin en rédaction car je suis encore un peu dans les vapes et toujours à la maison, emmitouflée dans mon pyjama, travaillant comme je le peux.
Non ce n’est rien de bien grave mais disons que j’aurais dû arrêter avant et traiter comme il se doit ce vilain virus. Ça m’apprendra comme on dit!
Sur ce, je vous laisse, je vais tenter de travailler entre 2 éternuements…
Photo : Unsplash | Katarzyna Kos