Posts published on "août 2016"

La route de la vie

André Branco

La cloche de l’école primaire s’est fait entendre il y a quelques minutes. J’entendais les enfants s’amuser, l’animation joyeuse et pétillante de la cour d’école qui diminuait tranquillement au fur et à mesure que les élèves entraient dans l’établissement. Vous l’aurez deviné, je travaille de la maison… Et comme l’école est à quelques pas de chez-moi, j’ai le bonheur d’entendre cette ambiance sonore colorée, accompagnée du chant des oiseaux et du bruit du vent dans les feuilles des arbres du parc.

Il y a quatre ans, je vendais ma maison à Sainte-Sophie pour me rapprocher de mon travail et de mon monde. Quelques années passées loin du brouhaha de la ville m’ont fait le plus grand bien mais je ressentais le besoin d’être dans un lieu qui me ressemblait, qui mariait accessibilité et tranquillité. Cette année-là fut l’une des plus éprouvante et mouvementée de ma vie. Je me suis séparée, j’ai vendu ma maison alors que mon père rendait son dernier souffle, j’ai quitté mon emploi et emménagé dans cette nouvelle ville pour finalement décider de rénover complètement cette demeure pour la mettre à mon image.

J’ai une certaine tendance à aller dans les extrêmes, ou devrais-je dire, j’avais cette tendance car avec les années, thérapie aidant, je me suis assagie et j’ai appris à reconnaître les signes du mal-être qui me faisait agir si intensément. Je sais, par contre, que je ne deviendrai jamais une personne neutre et calme en toute circonstance puisque ce n’est pas ma couleur. Je demeurerai toujours assez active et allumée et aurai toujours cette possibilité de changer de cap, de rebondir et de sauter à pieds joints dans une nouvelle aventure, sans m’attarder à la peur qui pourrait me paralyser.

Mais ce matin, la nostalgie des années d’études m’a ramené des années en arrière. Je me souviens de l’insouciance de cette belle époque quand, armée d’un sac à dos et des fournitures scolaires de mises, je me rendais à l’école en marchant, sans réfléchir aux risques et préoccupations de la vie. J’étais cette jeune fille angoissée, dans un élément commun et rassurant, dans cette petite ville des Laurentides qui me servait de cocon. Je n’avais aucune idée de ce que la vie me réservait, et je n’arrivais pas à me projeter dans un métier, dans un lieu ou dans un clan quelconque.

J’ai plongé dans la vie d’adulte très vite, désirant découvrir le monde et sortir de ma zone de confort, me confronter à la réalité. Je suis venue à Montréal, j’ai pris un appartement avant même que ma colocataire de l’époque ne reçoive sa réponse d’université, j’avais confiance en la vie sans m’en rendre compte et j’avais cette soif de vivre et d’apprendre qui me tenaillait. J’ai suivi mon instinct et choisi une route peu fréquentée qui, à l’époque, a dû faire faire des cauchemars à mon paternel qui se réjouissait que je suive ses traces sur le chemin de l’enseignement. Mais l’appel de la nouveauté a gagné et c’est en multimédia que j’ai atterri, ayant cette facilité avec les ordinateurs.

Aujourd’hui, 17 ans plus tard, je me demande encore comment j’ai fait pour prendre ce cette tangente si facilement et je sais que j’avais envie d’autre chose que la facilité et le chemin tracé pour moi. Que voulez-vous, je ne me suis jamais sentie à l’aise dans un moule…

En entendant ces enfants rigoler dans la cour d’école, je me demande ce que l’avenir leur réserve, où la vie les mènera. Je leur souhaite de trouver leur voie mais surtout de s’écouter et d’être capable de sentir dans leur ventre ce qui les allume et ce qui les angoisse. Peu importe nos choix dans la vie, le plus important, c’est de les faire pour nous, en fonction de nos valeurs et nos envies. C’est un des plus beaux apprentissages qu’on peut transmettre à la jeune génération. Et ce n’est pas obligatoire de prendre le chemin facile et asphalté. Parfois, les petits sentiers sont les plus propices aux découvertes enrichissantes!

 

Photo : Unsplash | André Branco

Merci!

Ben White

Ce matin, j’ai envie de gratitude et de douceur, de bonne humeur et de légèreté. Et j’ai envie de vous dire merci, d’être là et de me lire, de me donner des commentaires, votre opinion ou simplement un « j’aime » sur Facebook. Ce geste me rend heureuse et je remercie la vie d’avoir cette capacité à m’exprimer par écrit pour pouvoir entrer en contact avec vous et toucher votre cœur. Partager les petits bonheurs du quotidien, les inquiétudes et les questionnements, les découvertes et les réflexions, c’est une façon pour moi de dépasser mes limites et de poursuivre mon travail sur moi-même. C’est un engagement envers moi mais aussi envers vous car tous les matins, je choisis le sujet qui me touche, qui m’a interpellé dans les médias, une idée que j’ai eu ou un sentiment qui m’habite et je dépose sur ce blogue des mots qui, mis ensemble, forgent ma pensée.

Cette pensée, vous pouvez la partager, la contredire, la faire mijoter dans votre esprit, en discuter avec d’autres… Au moment où vous me lisez, elle vous appartient et vous pouvez en faire ce que vous voulez. Et j’aime l’idée d’ouvrir un chemin, de démarrer une discussion et de semer des petites graines de réflexion. Je suis loin d’être une journaliste ou une écrivaine et je n’ai jamais prétendu avoir le talent pour écrire professionnellement mais c’est plutôt l’idée du partage qui m’anime dans ce processus.

J’ai décidé un peu sur un coup de tête de partir ce blogue, après avoir été en charge de la rédaction de billet pour une entreprise précédente qu’on avait démarré avec des amis et en relisant mes anciens textes, j’ai réalisé que ça avait été une partie de plaisir pour moi de faire cet exercice. Et un bon matin, je me suis assise devant mon portable, j’ai trouvé un thème WordPress et j’ai créé mon blogue. Le questionnement sur le nom a duré environ 7 minutes car, bien qu’on me demande souvent sur quoi j’écris, mon plaisir est de parler de la vie en générale. Pas de thème précis, pas de balises strictes ni de sujets imposés. Je me donne le droit de passer du coq à l’âne, de jour en jour, sans qu’un fil ne tienne entre les billets, autre que ma plume personnelle.

Avec authenticité et sincérité, je vous livre mes coups de cœur et coups de gueule, sans attente, mais c’est toujours avec beaucoup de plaisir que je lis vos commentaires. Certains m’écrivent un petit mot personnel et d’autres le font en réponse à la publication sur ma page Facebook mais peu importe le moyen, l’effet est toujours le même. Je souris et je me sens privilégiée d’avoir pu entrer quelques minutes dans votre vie et avoir ce retour, cette rétroaction de votre part.

Un jour, peut-être, aurais-je l’inspiration pour écrire un livre mais j’ai compris que cette formule de texte court à tous les jours permet une certaine liberté. Passer d’une recette, à une réflexion, puis à une réaction à un article, pour ensuite suggérer de la musique ou des livres, tout cela ne pourrait pas se faire dans un bouquin alors qu’ici, tout m’est permis. Je suis seule à m’imposer une limite ou un cadre et malgré que j’y mette tout mon cœur, je ne me juge pas et ne me censure pas. Parfois, vous n’irez pas jusqu’au bout du texte car le sujet ne vous interpellera pas et c’est tout à fait correct.

Je n’exige rien en retour, pas même un engagement de votre part. C’est le plaisir de lancer cette bouteille à la mer à tous les matins qui me stimule, pas la possibilité d’avoir une réponse. Surtout qu’il n’y a même pas de question 😉

Bonne journée, et encore, MERCI!

 

Photo : Unsplash | Ben White

Être numéro un dans notre coeur

Steinar La Engeland

Ce matin, c’est lundi confession… Alors, voilà, je me lance : je suis moumoune de l’œil, feluette de la pupille. Que voulez-vous, je regarde un oignon et je pleure, même pas besoin d’y toucher. Mes yeux sont tellement faibles qu’ils ne sont même pas certains de leur couleur alors… Ça vous dit leur manque de virilité!

Hier, je cuisinais un macaroni « avec pas de viande » et de bons légumes. (Petite parenthèse ici : le sans-viande style italien, c’est vraiment de la bombe et au moins dix fois moins gras que le bœuf. Les sceptiques seront confondus!) Mais bref, tout ça pour dire que dans ma recette, ben il y a un oignon haché. Un petit là, tout ce qu’il y a de plus inoffensif. Mais pour mes yeux à moi, c’est une montagne, une épreuve olympique. Ils virent fous à la minute où la lame de mon couteau entre en contact avec le bulbe, c’est immanquable. En fait, même des échalotes grises me font pleurer alors…

Et chaque fois, je me dis : bon ça va aller on va faire ça vite… Mais non, je me retrouve à pleurer comme une madeleine, à sacrer comme un charretier et à prier le bon dieu pour que ça arrête de chauffer. Honnêtement, je ne sais pas comment ont fait nos grand-mères pour en couper autant quand elles avaient des familles de douze enfants.

Pourquoi je vous raconte cette anecdote pour le moins banale et innocente ce matin? Parce qu’il n’y a pas si longtemps, j’étais incapable de rire de moi, d’avouer mes petits travers, de faire preuve d’autodérision. La peur du jugement des autres me terrifiaient et je fuyais comme la peste toute situation qui pouvait me ridiculiser, me faire paraître plus ou moins nounoune ou qui exigeait des pitreries. En fait, même commencer un nouveau sport m’effrayait car à mes yeux, j’aurais dû y exceller dès la première minute et l’idée de ne pas y arriver me terrorisait.

Ça m’a pris des années de désensibilisation et d’essais-erreurs dans des domaines anodins pour comprendre qu’on a chacun nos forces et nos faiblesses et surtout, que personne n’est bon en tout. Alors maintenant je sais que je peux essayer quelque chose de nouveau et me planter royalement sans que ça ne me réduise à néant. Ou tout simplement, tenter une nouvelle expérience et ne pas aimer ça. Me donner le droit à l’erreur mais aussi au choix. Ce n’est pas parce que je fais preuve de curiosité envers quelque chose que ça représente un engagement pour la vie.

Et parfois, des situations de la vie nous arrive, on fait des rencontres, on participe à des activités… Et ça peut arriver qu’à un moment, on ne soit pas à notre meilleur, on ne brille pas  ou même on fait une grosse bourde. Et bien vous savez quoi? On n’en meurt pas! Je sais, pour certain, c’est complètement acquis et ils se demandent pourquoi je perds mon temps à en parler… Je vais vous dire : vous pouvez arrêter de lire ici, ça ne me dérange pas du tout. Mais pour les autres qui, comme moi, n’ont pas nécessairement appris la confiance en soi et l’autodérision, c’est un monde à découvrir.

Combien de fois me suis-je sentie déphasée par rapport aux autres, pas à ma place, l’intrus dans la pièce, la fille complètement hors champ… J’avais l’impression que TOUT le monde était parfaitement en phase avec le lieu et l’heure sauf moi, comme si j’avais atterrie dans ce monde il y a quelques minutes et que je n’y comprenais rien. Un genre de version québécoise du film Les visiteurs.

Et après plusieurs années à me questionner sur le « mais qu’est-ce qui ne va pas chez-moi », j’ai fini par comprendre que la majorité des gens ressentait la même chose mais portait le masque de la parfaite personne pour éviter de détonner. Eureka! Je me suis mise moi aussi à porter ce masque! Pour finalement me rendre compte que je n’étais pas plus heureuse… Et que je préférais être moi-même, au risque de sortir du lot et de ne pas cadrer, ne pas entrer dans le moule qu’on m’avait réservé. De ne pas être la numéro 1…

Mais malgré tout, aujourd’hui, je préfère cent fois mieux être qui je suis, avec mes petits travers et mes failles que de tenter d’être celle que je ne suis pas. Alors oui, je pleure rien qu’en voyant un oignon, j’ai tout un caractère, je suis parfois entêtée, mais aussi passionnée, énergique et volubile. J’aime la vie, les gens, la nature et la musique. Mes goûts ne sont pas ceux des autres, et chacun a droit d’être qui il est. Si on était tous pareils, ce serait d’un ennui mortel de toute façon, ce serait prévisible et sans surprise. Et ça donne quoi d’être le numéro 1 que tout le monde admire si on est pas heureux dans notre coeur? Ça sert à quoi de vouloir ressembler à tout le monde si, en dedans, on est personne? La différence, c’est ce qui fait la beauté du monde…

 

Photo : Unsplash | Steinar La Engeland

 

L’univers du petit bobo

Xochi Romero

Ce matin, dans La Presse+, un article confronte les 2 types de médecine, la traditionnelle, empirique et basée sur la science et la seconde, dite alternative, dont les assises remontent à des milliers d’années. En lisant ces 2 visions, la seule chose que j’avais en tête, c’est : mais pourquoi devrait-on choisir? Je ne comprends pas pourquoi la médecine stricte n’ouvre pas ses horizons en intégrant les produits naturels et les approches alternatives dans son spectre de soins. D’autant plus que moins d’un pourcent des recherches scientifiques sont faites sur les produits naturels… Alors comment peuvent-ils rejeter ces approches sans y avoir vraiment mis le nez?

Depuis des années, je souffre de maux de dos. Et je me souviens de mes premières douleurs, quand le médecin me prescrivait des pilules qui souvent ne changeaient rien… Les entorses lombaires se succédaient et les prescriptions s’accumulaient dans mon dossier médical. Sans qu’on en cherche la cause, sans qu’on se questionne sur mon mode de vie, ma posture et mon alimentation. Puis un jour, j’ai rencontré mon ostéopathe et ma vie a changé.

L’ostéopathie m’a ouvert l’esprit sur mon corps, mes études en massothérapie m’ont amené la connaissance nécessaire pour comprendre ses structures et systèmes et le yoga a insufflé à mon corps souplesse et tonus. Toutes ces approches m’ont permis de renforcer mon corps pour qu’il s’adapte et subissent moins de blessures. Terminé les pilules qui me rendaient plus malade et ne réglaient pas mon problème.

Parfois, la médecine est nécessaire. Mais elle ne devrait pas rejeter du revers de la main l’apport de la médecine douce, moins intrusive et destructrice. Je me souviens d’une visite en clinique privée où, après des semaines de sinusite, je décidai de me résigner à obtenir une prescription. Et quand j’ai mentionné au médecin que je souffrais de la maladie de Crohn, que j’avais refusé le traitement médical et que je prenais des probiotiques qui m’aidaient beaucoup, j’ai eu droit à un discours moralisateur et à un regard de mépris. Je n’ai pas besoin de vous dire que je ne suis plus jamais allée consulter ce docteur…

Je rêve du jour où l’on prescrira du sport, une alimentation équilibrée et où toutes les possibilités, scientifiques, alternatives et spirituelles seront considérées dans l’équation. Ce qui me choque, c’est qu’on est un corps, un esprit, une âme, un être émotif et complexe et que ce n’est pas en 10 minutes qu’on peut comprendre ce qui cloche quand on est malade. Les consultations médicales étant de plus en plus courtes, les médecins n’ont pas le temps de savoir si c’est notre travail qui nous stresse, une situation familiale difficile qui nous préoccupe ou du harcèlement psychologique qui cause notre mal.

Bien souvent, un symptôme physique est le résultat d’un mal être, d’une accumulation intérieure d’émotions qui se manifeste par un bobo. Traiter le bobo est temporaire, la source demeurant tapie au fond de nous et n’attendant que la fin du traitement pour ressurgir…

Prenons soin de nous, soyons conscient de notre corps, de notre état et apprenons à nous connaître car entre vous et moi, nous sommes le mieux placé pour savoir ce qui est normal, ce qui dérange, ce qui détonne de notre état normal. On a tous nos petites faiblesses et il n’en tient qu’à nous de trouver les façons de s’améliorer. Cessons de se contenter de prescriptions et prenons en main notre santé. Nous serons les premiers à en bénéficier…

 

Photo : Unsplash | Xochi Romero

De la santé pour dessert svp!

Jamie Street

Depuis que j’ai démarré ce blogue, je réitère souvent mon opinion sur les bienfaits du sport et sur le fait qu’on peut prendre sa santé en main, un geste à la fois. Et pour ceux qui me connaissent personnellement, quand j’ai une idée dans la tête, c’est assez difficile de me faire déroger. Que voulez-vous, je suis taureau ascendant taureau (n’importe quoi)! Mais plus sérieusement, quand je suis convaincue de quelque chose et que j’ai des preuves à l’appui, je ne peux faire autrement que de partager la bonne nouvelle. J’appelle ça l’évangélisation 2.0.

Tous mes amis m’ont déjà entendu parler du gruau sans cuisson, ma découverte santé de l’été 2015 qui a complètement changé ma routine matinale. Je vous invite d’ailleurs à découvrir mon billet sur le sujet ici. Depuis ce jour, je dirais que 90% de mes matins sont ponctués d’une dégustation toujours aussi plaisante de ce déjeuner. Les variations sont infinies et la préparation tellement simple qu’il est impossible de dire : mais je n’ai pas le temps de faire ça! Aucune défaite et que du bonheur dans la bouche et pour votre bedon. Alors, vous adoptez?

Depuis maintenant 4 ans, je pratique le yoga de façon hebdomadaire avec ma yogi préférée, Lise, et ça a aussi eu un impact majeur sur ma vie. Moi qui ai un dos fragile et qui se blessait facilement, j’ai beaucoup moins de spasmes puisque mon corps a maintenant plus de tonus et de protection contre les gestes brusques ou mal exécutés. Personne n’est parfait et on ne pense pas toujours à plier les genoux ou à contracter nos abdominaux mais à force de pratiquer le yoga, j’ai acquis une certaine forme physique qui m’évite certaines désagréments. En ajoutant la pratique à la maison, qui se fait à mon rythme, j’arrive à des résultats très satisfaisants.

Dernièrement, je vous ai raconté que j’avais rencontré ma nouvelle entraîneuse, une source de motivation intarissable et une influence très positive dans ma vie. Au-delà de l’aspect physique, c’est tout un mode de pensée qu’elle partage avec moi. On s’est tellement fait rincer les oreilles avec les dogmes de l’autorité médicale qui nous empêchait de bouger dès qu’on avait mal à un orteil qu’on en est presque venu à croire que l’activité était nuisible. Alors qu’au contraire, on sait maintenant aujourd’hui que le pire ennemi pour notre santé est notre sédentarité.

Le simple fait de prendre les escaliers fixes au lieu des mécaniques quand on le peut, de stationner son véhicule quelques coins de rues plus loin pour marcher plus, de faire des étirements et d’ajouter toute sorte de petits moments de la sorte dans notre quotidien nous fera redécouvrir notre corps et les bienfaits de l’activité physique. Nul besoin de viser les olympiques mais de se choisir et de donner à notre corps les moyens de vieillir en forme est le plus beau cadeau que l’on puisse s’offrir.

Pour terminer, petite mention concernant les lunchs… Je sais, c’est parfois pénible de préparer ses lunchs toute la semaine et pas toujours agréable de manger les restes de la veille mais pensez-y. Vous ne savez pas ce que mettent les restaurateurs dans les plats que vous achetez au restaurant et bien souvent, le gars et le sel occupent une place trop grande pour que vos repas soit savoureux. Apprenez à remplacer quelques repas de restaurant par les vôtre, tranquillement, sans mesure extrême et vous verrez une différence. Commencez pas un, vous verrez, ce n’est pas si dur!

Et je vous partage ici une recette de base que j’ai découverte dernièrement et que j’adore : salade d’orzo au saumon. J’ai d’abord fait cette recette telle quelle puis j’ai varié, en ajoutant des légumes, des raisins, en changeant de poisson… Et honnêtement, je n’ai jamais été déçue. Je vous invite à l’essayer; c’est facile et franchement délicieux!

 

Photo : Unsplash | Jamie Street