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La beauté de la vie

Ivana Cajina

Comme plusieurs d’entre vous le savent, j’ai débuté un nouveau mandat récemment et comme à chaque fois, je suis toujours agréablement surprise de rencontrer des nouveaux collègues, de saisir leur vision, leur parcours. J’aime beaucoup découvrir de nouvelles personnalités et constater la beauté humaine, à l’intérieur de chacun. Personne n’est parfait mais c’est l’œuvre complète qui importe, pas les petits défauts.

Je repense à certaines personnes que j’ai rencontrées et qui n’étaient pas connectées, qui vivaient comme au-dessus de leurs affaires et avec qui je n’avais aucune affinité. Mais aussi à d’autres qui sont restées dans ma vie même après la fin de mon mandat et qui me ressemblent dans la façon de penser ou de vivre. Je crois que c’est un des avantages le moins exposé dans la vie d’un consultant, d’avoir l’opportunité de faire de nouvelles rencontres si souvent.

Comme quand on était à l’école et que chaque année scolaire offrait son lot de belles amitiés nouvelles, je démarre de nouvelles aventures professionnelles avec une ouverture et un accueil qui grandit d’année en année. Je crois que j’aime profondément l’humain et que ça transparait dans ma façon d’aborder les gens.

Un collègue de mon nouveau mandat est ce type d’homme très galant qui ouvre toujours la porte, offre son aide, est généreux de nature. Hier, je me faisais la réflexion qu’il s’en fait peu et que quand on voit cela, ça nous surprend alors qu’avant c’était monnaie courante. Je trouve cette attitude très respectueuse car ce n’est pas fait dans un but d’obtenir quoi que ce soit, on sent que c’est purement naturel et altruiste.

J’ai aussi connu des gens avec qui je partageais des intérêts culinaires et on se faisait un plaisir fou de partager nos lunchs et nos recettes. Ou des collègues avec qui on pouvait passer des heures à discuter de récentes découvertes musicales. Mes horizons s’ouvrent ainsi à de nouvelles choses et j’apprécie grandement ce privilège.

On me demande parfois si je ne suis pas fatiguée de me promener, de changer constamment de ruche mais c’est justement cette obligation à m’adapter continuellement qui me nourrit et me permet de garder mon esprit vif et allumé. Quand, au bout de plusieurs mois, je sens que je stagne, que je n’ai plus la même énergie, que je n’apporte plus mon maximum, je sais que je quitterai bientôt ce nid pour voguer vers de nouvelles opportunités. C’est ainsi et maintenant j’accepte mon style, mon statut, mon rythme.

Comme on dit, ça prend toute sorte de monde pour faire un monde et j’adore pouvoir explorer ainsi. Il y a des gens qui parcourent le monde en voilier, qui sautent dans le premier avion à la moindre occasion. Moi je découvre des nouvelles équipes, des nouveaux projets et ça me motive. Je n’ai plus de stress à savoir si je serai à la hauteur ou si les gens m’apprécieront. J’ai compris qu’en étant moi-même et en offrant mon expertise, je saurai que j’ai fait de mon mieux. Et, dans les rares cas où ça n’a pas fonctionné, c’était plus un mauvais « fit » qu’une question de compétence. Être sur la mauvaise chaise, ça peut arriver et ce n’est pas grave. Il n’y a pas de vie en jeu alors dans ce temps-là, je suis honnête et je me retire, élégamment.

Savoir trouver sa place, comprendre qui on est et ce qui nous convient, ça fait toute la différence dans la vie. Ça m’a pris des années à comprendre cela et je sais que mon style de vie ne correspond pas à tout le monde. Mais comme je dis toujours : si on était tous pareil, ce serait d’un ennui mortel. C’est l’effet de surprise qui est intéressant, le fait de se voir confronter à l’inattendu, l’étrange ou simplement l’inconnu qui permet d’avancer, d’aimer, de choisir et d’évoluer. Et c’est ça, la beauté de la vie!

 

Photo : Unsplash | Ivana Cajina

Avancer vers soi

Justin Luebke

Qu’est-ce qui vous motive dans la vie? Qu’est-ce qui fait que vous êtes capable de vous dépasser, de pousser vos limites, d’endurer certains désagréments en gardant le cap sur l’objectif? Avez-vous un mantra, une image mentale ou une chanson qui vous stimule et vous permet d’aller au-delà des frontières mentales forgées par vos peurs?

Je me questionne beaucoup sur cet aspect ces temps-ci car je me remémore va vie d’avant la course à pied. J’ai passé une dizaine d’années à ne faire franchement pas grand-chose de ma vie à part travailler et vivre mon quotidien. Je n’avais pas vraiment de destination, métaphoriquement parlant, et j’avançais à tâtons sans vraiment me demander où j’allais ou ce qui me propulsait.

Depuis que je cours, je ressens un immense changement dans ma vie. D’abord, je me blesse moins souvent, j’ai un meilleur cardio et je sens mon corps plus tonifié, mais l’effet principal est réellement dans ma tête. J’ai une énergie folle, déjà que j’en avais avant, et je me sens apte à déplacer des montagnes. Je ne deviendrai jamais une athlète de haut niveau et ça m’est égal puisque dans mon cœur, je me sens forte et capable de tout. Et c’est là l’importance de trouver son élément déclencheur à soi. Ce n’est pas parce que le voisin est devenu un as du surf que c’est votre cas…

J’ai aussi longtemps ressenti un complexe dû au fait que je n’avais pas de diplôme universitaire, même si dans mon parcours professionnel il m’est arrivée une seule fois qu’on me demande une copie de mon dernier diplôme pour une histoire d’échelon salarial. Mais il me semblait que j’avais raté quelque chose, que ça faisait de moi une personne moins bonne car je ne possédais pas ce foutu diplôme. Et bien cette année j’ai entamé un programme court à l’université et j’ai réalisé que finalement, je voyais ça beaucoup plus hot que ce ne l’était en réalité. Je ne veux pas dénigrer les efforts des étudiants mais disons que je pense que je voyais ça comme le saint Graal alors que finalement c’est une des façons de se former et d’accéder au marché du travail. J’ai réalisé que mon parcours valait autant qu’un diplôme et que je pouvais cesser de me remettre en question pour cela…

J’ai aussi essayé un nouveau mode d’entraînement dans les séances en forte puissance du concept Orange Theory et j’avoue que je suis sortie de ma zone de confort. Moi qui est plutôt du type « contemplative », je n’ai pas vu le temps passer et j’ai poussé mon corps à son maximum, sans avoir une minute pour me demander ce que je faisais là. Jamais je n’aurais cru tenter ce type d’entraînement mais je ne regrette tellement pas mon choix que je me suis abonnée pour 6 mois…

Tout cela pour vous dire qu’il faut oser pour trouver ce qui nous anime, ce qui nous convient, ce qui nous permet de se sentir fière et heureuse de nous. On peut passer des soirées devant la télé à se traiter de grosse patate mais le meilleur arrive quand on saute à pieds joints dans une nouvelle expérience et qu’on laisse notre égo et nos peurs de côté. Cesser de se poser des questions et plonger, tout simplement.

Je ne sais pas plus où je serai dans 5 ans et ça m’est complètement égal car je sais que je serai plus en forme que je ne l’ai jamais été et ça, c’est réellement important. On a un seul corps pour la vie, alors si on n’en prend pas soin, notre vie, elle peut être pénible et douloureuse.

Alors au lieu de planifier ma retraite, je planifie ma santé, je mise sur mon bien-être et mon équilibre. Et je me dis que la vie mettra bien sur ma route ce qu’il faut pour que je trouve mon chemin. Et sinon, il y a toujours de petits sentiers inexplorés qui m’appelleront et me feront découvrir de bien belles choses!

 

Photo : Unsplash | Justin Luebke

Se rapprocher du bonheur

Brigitte Tohm

Hier, je suis tombée par hasard sur cette citation de Nelson Mandela :

Dans la vie, on a toujours le choix : aimer ou détester, assumer ou fuir, avouer ou mentir, être soi-même ou faire semblant.

Et c’est resté dans mon esprit quelques heures, me faisant réfléchir aux divers choix que j’ai fait dans ma vie.

Je me souviendrai toujours d’un de mes ex-copains qui ne comprenait pas pourquoi je faisais une thérapie depuis si longtemps. À ses yeux, ce processus aurait dû être plutôt de l’ordre de quelques trucs et recommandations pour me permettre d’avancer seule. Pourtant, c’est sans aucun doute la plus belle et grande décision que j’ai prise de ma vie : celle de me choisir et de me donner les outils pour aller mieux. M’offrir un tel accompagnement m’a été d’une aide précieuse et m’a permis d’éviter de passer des années dans l’angoisse et le doute.

Aujourd’hui, cette citation raisonne donc en moi car j’ai vraiment fait des choix importants dans ce processus thérapeutique : cesser de jouer un personnage et être authentique, m’écouter et me respecter, et toujours me demander si une situation, une relation, un emploi ou quoi que ce soit me convient encore. Car on a tous le droit de changer d’idée, d’évoluer et de réaliser que finalement, ce n’est plus ce qui nous va.

Certains diront qu’aimer ou détester n’est pas toujours un choix mais je crois sincèrement qu’on peut choisir d’être dans une ambiance agréable ou non. On a le droit de décider qu’une relation ne cadre pas avec nos valeurs et choisir de s’éloigner, sans pour autant détester l’autre. En apprenant à se connaître, on comprend aussi que nous sommes tous différents et que c’est correct de ne pas être en phase avec certaines visions ou philosophies de vie. S’autoriser à continuer son chemin permet de se libérer des mauvaises énergies.

Pendant quelques années, j’ai cru que j’étais responsable du bonheur des autres. Je me sentais littéralement en charge, comme si je devais tout faire pour les aider, les aimer, les épauler, leur rendre service. Tout cela s’est fait au détriment de ma santé mentale et physique et un jour j’ai compris qu’on doit appliquer le principe de l’avion dans sa vie de tous les jours : sauve-toi toi-même avant de vouloir sauver les autres (vous savez, l’histoire du masque dans l’avion là…)

De toute façon, pour y avoir patauger pendant un certain temps, je sais maintenant que quand on est dans une phase difficile, on n’a pas toujours l’élan ou le recul nécessaire pour en sortir. Des fois, il faut toucher le fond pour remonter, d’autres fois on a besoin d’y rester quelques temps pour faire les apprentissages nécessaires afin d’y voir plus clair. Alors quand quelqu’un de notre entourage y est, s’il ne veut pas s’aider, on n’y peut rien. Et pour ma part, comme je n’aime pas voir souffrir mes proches, j’applique la règle suivante : j’offre mon aide mais je laisse le droit à la personne de rester dans sa bulle le temps qu’il faut, sans m’imposer ni me sentir responsable. Car si je brûle toute mon énergie quand ce n’est pas le bon moment, je n’en n’aurai plus suffisamment quand le bon temps sera venu.

Alors ce cher Nelson Mandela avait bien raison dans cette approche et ça fait partie des mantras que je tente d’appliquer chaque jour, chaque heure et chaque minute de ma vie. Quand je m’en éloigne, je le ressens instinctivement tellement c’est devenu une part entière de ma vie. Et j’en suis fière car avant, je ne ressentais rien et je souffrais alors aujourd’hui, c’est tout le contraire.

Je souhaite sincèrement à chacun et chacune d’entre vous de vivre ainsi, de se connecter à soi-même et de pouvoir savoir ce qui va et ne va pas, à chaque instant. C’est un cadeau à soi-même et aux autres et ça permet de vivre en paix, sereinement et en pleine conscience. Et je crois que c’est ce qui se rapproche le plus du bonheur…

 

Photo : Unsplash | Brigitte Tohm

Cette différence qui fait peur

Kayle Kaupanger

Samedi était une journée bien remplie en émotions diverses. La journée a commencé par un recueillement au cimetière où l’on mettait en terre les cendres de mon père qui nous a quitté il y a cinq ans. Et oui, je l’ai gardé près de moi tout ce temps, incapable de m’en séparer. Comme si cette petite boîte me gardait en lien avec lui. Mais avec le processus de deuil, on finit par comprendre que l’important n’a rien de matériel, c’est beaucoup plus spirituel. Il restera toujours dans mon cœur et ça vaut mieux qu’une boîte dans mon salon…

À cette courte cérémonie, j’ai eu la chance de revoir la famille de mon défunt paternel. Des gens sincères, chaleureux et authentiques que je vois très rarement. Mais j’ai réalisé surtout que je n’avais jamais vraiment eu l’occasion de les connaitre, la vie en ayant décidé ainsi. Je ne m’auto-flagellerai pas de ne pas avoir pris plus de temps avec eux, cela ne servirait à rien.

Et il y avait l’amie de mon papa qui, à travers les années, a été autant sa confidente que son associée dans des projets. Une personne avec une belle âme qui, je sais, occupait une place très importante dans sa vie. J’ai été très touchée de pouvoir passer du temps avec elle, comme si ça me rapprochait de mon papa qui me manque tant. Mais j’ai aussi pu constater cette ressemblance qui nous unies, celle d’être des femmes de tête, des femmes différentes, des femmes qui, parfois, font peur aux hommes.

C’est un sujet que j’aborde souvent en privé mais qui, je crois, vaut la peine d’être étudié plus en profondeur. On me demande parfois pourquoi je suis célibataire et quand j’essaie d’expliquer que d’avoir de la drive, ça peut faire peur à certains, on me taquine sans trop me croire. Mais c’est pourtant une réalité qui est vécue par beaucoup de femmes de mon entourage. Quand on est carriériste, qu’on a du caractère, qu’on ose prendre sa place, qu’on ne fait pas dans la discrétion, c’est la réaction que l’on voit. Le modèle de femme réservée et serviable ne colle pas à toutes et j’en fais partie.

Personnellement, je vis bien avec cela et j’en suis venue à trouver ces caractéristiques fort pratiques dans ma vie. Pourtant, ça semble être problématique pour les autres qui voient en cela un souci, une encoche à la normalité. J’ai écrit récemment sur ces modèles imposés qui devraient être revus et je n’en démords pas : ça manque d’ouverture dans notre société.

Avec cette amie, on a discuté de ce plaisir d’être libre et autonome, de pouvoir avancer sans crainte, d’avoir cet élan, cette énergie qui nous propulse. Car, contrairement à ce que certains croient, ce n’est pas un effort d’être ainsi. C’est intrinsèque, tout comme certaines personnes ont un talent musical ou sportif inné. C’est simplement que nous, ça détonne car ça défie les conventions…

Avec les années et le travail personnel, j’en suis venue à sincèrement apprécier cet aspect de moi pour en être fière et revendiquer le droit à l’indépendance et l’authenticité. Jouer un rôle : très peu pour moi. Tenter de me fondre dans la masse? Impossible! Alors aussi bien assumer et en faire un avantage au lieu de tenter d’étouffer cette énergie débordante.

Accepter sa différence, c’est se respecter pour apporter au monde notre couleur, notre unicité et notre tolérance. La vie est trop courte pour la passer à tenter d’éteindre le feu qui nous nourrit et elle est trop belle pour la gâcher à ruminer… Soyons fières mesdames et enrichissons notre vie de relations stimulantes. Être soi-même, j’espère que c’est ça le nouveau modèle qui nous attend…

 

Photo : Unsplash | Kayle Kaupanger

Vivre et laisser vivre

Erik Dungan

J’ai fréquemment abordé le sujet de la normalité sur ce blogue et surtout de mon aversion pour les modèles imposés. Hier, j’avais une discussion à ce sujet avec une amie qui, comme moi, ne correspond pas aux standards de la société. On échangeait sur le fait qu’aujourd’hui, en 2017, il semble aberrant de tenter de mettre les gens dans un moule tant les possibilités sont nombreuses. Qu’est-ce qu’une vie normale aujourd’hui? Un couple ou une famille normale, ça ressemble à quoi? Une situation professionnelle classique devrait suivre quel parcours?

Ça me plait de penser qu’on est rendu au-delà des clichés et des normes et qu’on peut se permettre de créer son propre modèle, unique et personnel. Je suis aussi contente de voir qu’on se permet d’évoluer et de briser les barrières qui, avant, nous empêchaient d’oser et de tenter de nouvelles avenues. Mais, cette indépendance et cette unicité fait parfois réagir encore aujourd’hui, particulièrement quand on est une femme.

Qu’on décide d’acheter sa maison seule, d’élever un enfant seule, de ne pas avoir d’enfant, d’exercer un métier « traditionnellement masculin » (je déteste cette formule) ou de pratiquer un sport de combat, il y a toujours des gens pour juger et pour tenter de nous ramener dans le rang de la normalité. On détonne, on fait tâche pour certain, on sort du lot et je crois que ça confronte les gens sur leurs propres choix. Ça déstabilise et on sait que la nature humaine a bien souvent horreur du changement. C’est si facile de rester dans la même bulle en permanence…

Je connais des familles qui ont décidé aujourd’hui d’avoir de nombreux enfants et qui se font juger à chaque sortie, des femmes qui ont eu un enfant seule et qui constamment se font demander où est le père, des couples homosexuels qui élèvent des bambins et se font demander comment ils ont fait, des femmes sans enfant (dont je suis) qui se font demander si c’est parce qu’elles ne peuvent pas en avoir biologiquement, des hommes qui choisissent de fréquenter une femme plus âgée qu’eux et qui sentent les regards désobligeants sur eux…

Pourquoi, en 2017, se permet-on encore d’étiqueter et de cataloguer absolument tout? Pourquoi a-t-on encore autant de barrières mentales et se laisse-t-on déranger par ces nouveaux modèles? Ce n’est pourtant pas des obstacles à notre propre bonheur, ça ne nous dérange pas dans nos vies? Le vivre et laisser vivre est encore et toujours difficile à obtenir…

Bien entendu, il y a eu de l’avancement, surtout dans les positions que les femmes ont choisies mais ça s’est fait moyennant bien des sacrifices et impliquant plusieurs contraintes. Je rêve sincèrement du jour où un humain pourra vivre sa vie comme bon lui semble, sans devoir justifier ou expliquer ses choix. Être qui on est librement et sans pression, ça me semble être le contexte parfait pour offrir au monde son plein potentiel.

Je parlais de savoir s’entourer de bonnes personnes cette semaine et pour moi, ça fait partie de la solution. Savoir trouver les gens qui nous élèvent vers le haut au lieu de nous niveler vers le bas, qui nous stimulent et nous inspirent plutôt que de nous rabaisser et nous miner le moral. Trouver des gens qui voient les choses comme nous ou qui, du moins, respectent nos choix, nos croyances, notre mode de vie.

C’est crucial de pouvoir vivre parmi un cercle qui n’entrave pas notre bonheur. Ce n’est pas toujours facile car, comme on évolue, ce réseau doit parfois être réajusté et cela nécessite des choix pénibles. Mais la santé mentale, le bien-être et la paix intérieure devraient toujours primer sur tout car c’est dans ses conditions qu’on peut réellement être bien et faire rayonner notre belle énergie. On parle beaucoup d’être plus inclusif envers les communautés mais si on commençait d’abord par l’être entre nous, ça serait déjà, selon moi, un excellent début!

 

Photo : Unsplash | Erik Dungan