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Cette différence qui fait peur

Kayle Kaupanger

Samedi était une journée bien remplie en émotions diverses. La journée a commencé par un recueillement au cimetière où l’on mettait en terre les cendres de mon père qui nous a quitté il y a cinq ans. Et oui, je l’ai gardé près de moi tout ce temps, incapable de m’en séparer. Comme si cette petite boîte me gardait en lien avec lui. Mais avec le processus de deuil, on finit par comprendre que l’important n’a rien de matériel, c’est beaucoup plus spirituel. Il restera toujours dans mon cœur et ça vaut mieux qu’une boîte dans mon salon…

À cette courte cérémonie, j’ai eu la chance de revoir la famille de mon défunt paternel. Des gens sincères, chaleureux et authentiques que je vois très rarement. Mais j’ai réalisé surtout que je n’avais jamais vraiment eu l’occasion de les connaitre, la vie en ayant décidé ainsi. Je ne m’auto-flagellerai pas de ne pas avoir pris plus de temps avec eux, cela ne servirait à rien.

Et il y avait l’amie de mon papa qui, à travers les années, a été autant sa confidente que son associée dans des projets. Une personne avec une belle âme qui, je sais, occupait une place très importante dans sa vie. J’ai été très touchée de pouvoir passer du temps avec elle, comme si ça me rapprochait de mon papa qui me manque tant. Mais j’ai aussi pu constater cette ressemblance qui nous unies, celle d’être des femmes de tête, des femmes différentes, des femmes qui, parfois, font peur aux hommes.

C’est un sujet que j’aborde souvent en privé mais qui, je crois, vaut la peine d’être étudié plus en profondeur. On me demande parfois pourquoi je suis célibataire et quand j’essaie d’expliquer que d’avoir de la drive, ça peut faire peur à certains, on me taquine sans trop me croire. Mais c’est pourtant une réalité qui est vécue par beaucoup de femmes de mon entourage. Quand on est carriériste, qu’on a du caractère, qu’on ose prendre sa place, qu’on ne fait pas dans la discrétion, c’est la réaction que l’on voit. Le modèle de femme réservée et serviable ne colle pas à toutes et j’en fais partie.

Personnellement, je vis bien avec cela et j’en suis venue à trouver ces caractéristiques fort pratiques dans ma vie. Pourtant, ça semble être problématique pour les autres qui voient en cela un souci, une encoche à la normalité. J’ai écrit récemment sur ces modèles imposés qui devraient être revus et je n’en démords pas : ça manque d’ouverture dans notre société.

Avec cette amie, on a discuté de ce plaisir d’être libre et autonome, de pouvoir avancer sans crainte, d’avoir cet élan, cette énergie qui nous propulse. Car, contrairement à ce que certains croient, ce n’est pas un effort d’être ainsi. C’est intrinsèque, tout comme certaines personnes ont un talent musical ou sportif inné. C’est simplement que nous, ça détonne car ça défie les conventions…

Avec les années et le travail personnel, j’en suis venue à sincèrement apprécier cet aspect de moi pour en être fière et revendiquer le droit à l’indépendance et l’authenticité. Jouer un rôle : très peu pour moi. Tenter de me fondre dans la masse? Impossible! Alors aussi bien assumer et en faire un avantage au lieu de tenter d’étouffer cette énergie débordante.

Accepter sa différence, c’est se respecter pour apporter au monde notre couleur, notre unicité et notre tolérance. La vie est trop courte pour la passer à tenter d’éteindre le feu qui nous nourrit et elle est trop belle pour la gâcher à ruminer… Soyons fières mesdames et enrichissons notre vie de relations stimulantes. Être soi-même, j’espère que c’est ça le nouveau modèle qui nous attend…

 

Photo : Unsplash | Kayle Kaupanger

Vivre et laisser vivre

Erik Dungan

J’ai fréquemment abordé le sujet de la normalité sur ce blogue et surtout de mon aversion pour les modèles imposés. Hier, j’avais une discussion à ce sujet avec une amie qui, comme moi, ne correspond pas aux standards de la société. On échangeait sur le fait qu’aujourd’hui, en 2017, il semble aberrant de tenter de mettre les gens dans un moule tant les possibilités sont nombreuses. Qu’est-ce qu’une vie normale aujourd’hui? Un couple ou une famille normale, ça ressemble à quoi? Une situation professionnelle classique devrait suivre quel parcours?

Ça me plait de penser qu’on est rendu au-delà des clichés et des normes et qu’on peut se permettre de créer son propre modèle, unique et personnel. Je suis aussi contente de voir qu’on se permet d’évoluer et de briser les barrières qui, avant, nous empêchaient d’oser et de tenter de nouvelles avenues. Mais, cette indépendance et cette unicité fait parfois réagir encore aujourd’hui, particulièrement quand on est une femme.

Qu’on décide d’acheter sa maison seule, d’élever un enfant seule, de ne pas avoir d’enfant, d’exercer un métier « traditionnellement masculin » (je déteste cette formule) ou de pratiquer un sport de combat, il y a toujours des gens pour juger et pour tenter de nous ramener dans le rang de la normalité. On détonne, on fait tâche pour certain, on sort du lot et je crois que ça confronte les gens sur leurs propres choix. Ça déstabilise et on sait que la nature humaine a bien souvent horreur du changement. C’est si facile de rester dans la même bulle en permanence…

Je connais des familles qui ont décidé aujourd’hui d’avoir de nombreux enfants et qui se font juger à chaque sortie, des femmes qui ont eu un enfant seule et qui constamment se font demander où est le père, des couples homosexuels qui élèvent des bambins et se font demander comment ils ont fait, des femmes sans enfant (dont je suis) qui se font demander si c’est parce qu’elles ne peuvent pas en avoir biologiquement, des hommes qui choisissent de fréquenter une femme plus âgée qu’eux et qui sentent les regards désobligeants sur eux…

Pourquoi, en 2017, se permet-on encore d’étiqueter et de cataloguer absolument tout? Pourquoi a-t-on encore autant de barrières mentales et se laisse-t-on déranger par ces nouveaux modèles? Ce n’est pourtant pas des obstacles à notre propre bonheur, ça ne nous dérange pas dans nos vies? Le vivre et laisser vivre est encore et toujours difficile à obtenir…

Bien entendu, il y a eu de l’avancement, surtout dans les positions que les femmes ont choisies mais ça s’est fait moyennant bien des sacrifices et impliquant plusieurs contraintes. Je rêve sincèrement du jour où un humain pourra vivre sa vie comme bon lui semble, sans devoir justifier ou expliquer ses choix. Être qui on est librement et sans pression, ça me semble être le contexte parfait pour offrir au monde son plein potentiel.

Je parlais de savoir s’entourer de bonnes personnes cette semaine et pour moi, ça fait partie de la solution. Savoir trouver les gens qui nous élèvent vers le haut au lieu de nous niveler vers le bas, qui nous stimulent et nous inspirent plutôt que de nous rabaisser et nous miner le moral. Trouver des gens qui voient les choses comme nous ou qui, du moins, respectent nos choix, nos croyances, notre mode de vie.

C’est crucial de pouvoir vivre parmi un cercle qui n’entrave pas notre bonheur. Ce n’est pas toujours facile car, comme on évolue, ce réseau doit parfois être réajusté et cela nécessite des choix pénibles. Mais la santé mentale, le bien-être et la paix intérieure devraient toujours primer sur tout car c’est dans ses conditions qu’on peut réellement être bien et faire rayonner notre belle énergie. On parle beaucoup d’être plus inclusif envers les communautés mais si on commençait d’abord par l’être entre nous, ça serait déjà, selon moi, un excellent début!

 

Photo : Unsplash | Erik Dungan

S’avoir s’entourer

Hannah Busing

Quand on veut changer l’énergie autour de soi, s’entourer des bonnes personnes fait toute la différence. L’influence de notre entourage affecte notre humeur et notre opinion sur nous-mêmes. Si vous avez autour de vous des gens négatifs qui critiquent en permanence et qui vous jugent constamment dans vos capacités et actions, vous risquez fort, malgré votre force mentale, d’en être affecté. On a beau dire que ça coule sur nous, mine de rien, ça finit par faire son effet.

Tout comme les artistes qui reçoivent des critiques négatives de leur dernier spectacle, quand on reçoit une rétroaction décevante, ça porte à réfléchir. Ça peut être très bon pour s’améliorer mais si ce n’est pas pertinent et que cela vise uniquement à vous rabaisser, ce n’est absolument pas constructif.

Aussi, quand on fait du sport, des activités ou qu’on partage sa passion avec d’autres gens de notre milieu, ça fait toujours du bien de se sentir supporté et appuyé dans notre pratique. L’énergie des autres peut réellement nous pousser plus loin, nous stimuler et nos motiver. Au même titre, notre propre attitude a un impact sur les autres. Pensez à la rétroaction que vous pouvez donner à des employés et à quel point cela peut les propulser ou les restreindre. Dans la vie personnelle, c’est la même chose. Certains amis vivent un mauvais moment et un simple bon mot de votre part, peut changer l’issue d’une situation.

Pendant une certaine période de ma vie, j’ai fréquenté des gens un peu malsains et qui avaient tendance à rabaisser les autres pour se remonter le moral. On peut dire que c’était des gens toxiques. Et je ne réalisais pas à quel point cela pouvait affecter mon moral et diminuer mon estime de moi-même. C’est quand j’ai changé d’entourage que ça m’a fait réaliser à quel point j’étais prise dans une spirale négative. Sortir de cette tangente n’est pas toujours évident mais parfois, un élément déclencheur donne le coup de pied pour faire le changement.

Quand on s’intéresse à une nouvelle sphère, un nouveau sujet ou qu’on décide de pratiquer une nouvelle activité, trouver des mentors ou des personnes inspirantes favorise une courbe bonne d’apprentissage et donne l’élan pour s’investir et absorber de nouvelles connaissances. Comprendre le parcours de ces gens qui ont acquis une certaine notoriété amène aussi à comprendre l’effort qui sera nécessaire pour gravir les échelons. Si on avance à l’aveugle, on risque de faire plus d’erreurs et de perdre du temps là où ce n’est pas nécessaire.

Quand on vit une situation problématique, aller chercher de l’aide et du support n’est pas toujours facile. J’ai longtemps été le genre de personne à vouloir me débrouiller seule et à ne pas oser parler de ma faiblesse à mes proches. Mais finalement, avec le temps, j’ai compris qu’on peut s’enliser et rester dans notre situation bien plus longtemps par orgueil mal placé. Tout le monde vit des moments moins heureux, alors de partager avec les autres permet aussi de bénéficier de leur expérience dans ce type d’expérience.

Bref, ce n’est pas toujours évident de prendre conscience de la mauvaise influence d’une personne ou d’un groupe sur nous mais pour notre santé mentale, il faut parfois faire des choix et changer de cap. Il se peut que l’on fasse de la peine, que l’on doive faire face à une réaction choquante mais à moyen et long terme, c’est mieux pour nous. Il faut parfois penser à nous un peu plus pour se libérer et pouvoir avancer à nouveau.

Je vous invite à réfléchir sur ces gens qui vous entourent et qui ne sont pas toujours sympathiques ou positifs envers vous. C’est un exercice parfois ardu, émotif éprouvant dans certains cas mais je peux vous assurer qu’un sentiment de libération survient peut après la prise d’une telle décision.

En souhaitant que vous soyez choyez par vos proches et que personne de ceux-ci ne soient à analyser. Mais soyez toujours vigilants sur qui nous laissez entrer dans votre vie. Vous pourriez être surpris à quel point certaines personnes ne dévoilent pas leur vrai visage.

 

Photo : Unsplash | Hannah Busing

Vouloir toujours plus

Meiying Ng

Vouloir toujours plus

J’ai parfois l’impression que nous avons trop de choix, trop de possibilités, que nous sommes trop mitraillés de publicité, trop stimulés, trop sollicités… On n’est comme jamais en sevrage, on est gavé d’informations et d’opportunités, jusqu’à plus soif.

Dans notre ère actuelle, on a toujours la possibilité de trouver mieux alors on n’est jamais contenté de ce que l’on a. Se concentrer sur un choix, l’approfondir, le cajoler, apprécier ses défauts comme ses qualités ne semble plus un réflexe. Ça vaut pour un vêtement, une voiture ou un amoureux. La multitude d’occasions de voir si on ne pourrait pas avoir mieux, moins ceci ou moins cela rend notre cerveau complètement fou.

Combien de gens ai-je entendu dire qu’ils sont fatigués de telle situation ou condition tout en se comparant au voisin, au collègue ou à leur réseau Facebook. Ça m’attriste un peu car j’ai l’impression par moment que l’on perd l’essence même d’une relation. On ne peut pas bâtir une relation ou déterminer si celle-ci nous convient et nous nourrit en quelques échanges seulement. Ça prend du temps pour connaître quelqu’un, ça prend quelques épreuves pour voir la façon de réagir, de gérer le tout et sans cela, on se base sur des éléments futiles telle l’apparence.

Si on prend des applications comme Tinder ou ses semblables, on réalise assez vite que ça se rapproche plus du jeu que de la rencontre. Et à ce stade, malgré quelques âmes sœurs qui s’y sont trouvées, je n’ai pas l’impression que l’outil rend service. Une photo et trois mots n’ont jamais donné un portrait net d’une personne et à mes yeux, ce qu’on ressent en croisant quelqu’un pour la première fois en dit plus long qu’un profil virtuel.

Je me questionne sur cette capacité à déceler parmi la masse le réel visage des gens. Je suis convaincue que beaucoup sont sincères dans leur démarche mais sont avalés parmi le flot d’opportunistes constamment à la recherche d’une nouvelle proie. Ça peut sembler exagéré de le dire ainsi mais, par expérience, on se sent parfois comme un morceau de viande ou un butin à ajouter au tableau de chasse…

Je n’ai ni solution ni piste intéressante à proposer, une simple réflexion sur notre état en tant que société. Beaucoup sont en mal d’amour et se contentent de butiner sur ces sites à défaut de trouver mieux. Et quand on affirme être bien en tant que célibataire, on nous accuse d’avoir des problèmes et d’être invivable. Pourtant, la maxime « Mieux vaut être seul que mal accompagné » ne m’a jamais paru aussi pertinente.

Bref, je ne sais pas pour vous mais j’ai l’impression qu’on cherche trop parfois, qu’on veut trop trouver mieux, qu’il nous manque constamment quelque chose. J’ai longtemps eu ce sentiment qu’il me fallait déménager ou changer d’emploi quand, après un certain temps, je me sentais trop confortable dans une situation. Puis, un jour, j’ai compris que c’est quand on est en zone connue qu’on peut approfondir le travail sur soi. Quand c’est un tourbillon autour de nous, on a de la difficulté bien souvent à s’enraciner. Alors il faut profiter des moments d’accalmie pour travailler ses petites bibittes pour qu’elles prennent moins de place quand la tempête survient, ou que le prince charmant se pointe 😉

Finalement, peut-être est-ce une simple impression, mais je crois qu’on doit réapprendre à se satisfaire de ce que l’on a. Non pas d’arrêter de rêver grand mais de prendre le temps de voir toutes les facettes d’une chose ou d’une personne avant de l’éjecter. Tant mieux si on y parvient car je crois que collectivement, ce sera plus sain pour tout le monde.

La surconsommation est un phénomène non pas nouveau mais plus visible et, particulièrement au niveau des biens. Si chaque personne fait un effort, j’ai le sentiment qu’on peut changer la tendance et profiter ensemble de cette transformation. Et quand on applique un changement dans une sphère de notre vie, il devient plus facile de le transposer ailleurs… Alors, ça vous dit ?

 

Photo : Unsplash | Meiying Ng

Prendre sa santé en main

Ariel Lustre

Ce matin, en attendant l’ouverture du bureau (contrainte de consultant, c’est bien dure la vie 😉 ), je consultais mon fil d’actualités Facebook et je suis tombée sur cette image qui illustre exactement ce que, à mes yeux, la médecine devrait être pour nous :

Car, voyez-vous, je trouve qu’on a trop facilement le réflexe d’opter pour la pilule plutôt que de se questionner sur la raison même de notre malaise, qu’il soit physique ou mental. Et quand je dis « on », je m’inclus plus ou moins car depuis plusieurs années déjà, j’ai décidé qu’un médicament serait mon dernier recours en cas de souci de santé.

Ayant des problèmes de dos assez fréquents, j’ai longtemps eu le réflexe de prendre des anti-inflammatoires ou antidouleurs pour calmer les épisodes de souffrance lombaire. Mais, un jour, j’ai eu la chance et le bonheur de rencontrer mon ostéopathe qui, de tout son talent et sa volonté, a réglé mon inconfort. J’y ai alors découvert un monde de possibilités et depuis ce jour, dès que quelque chose me gêne au niveau physique, j’applique les conseils qu’elle m’a gentiment prodigué et, au besoin, je la consulte pour un traitement réparateur (presque garanti je dirais, depuis le temps que je la consulte).

Aucun médecin ne m’a jamais parlé du pouvoir de la respiration sur les spasmes musculaires ni d’oméga 3 ou de glucosamine. En fait, la seule discussion que j’ai eu concernant des produits naturels avec un membre de la communauté médicale fut concernant les probiotiques qui, dans mon cas, ont changé ma vie. Et le médecin a presque ri de moi lorsque je lui en ai parlé donc mes échanges sur le sujet ont cessé à ce moment.

Tout cela pour dire que je crois bien honnêtement qu’on doit reprendre le pouvoir sur notre corps et apprendre à l’écouter, à l’analyser, à ressentir afin de pouvoir voir venir les problèmes et être en mesure de se rétablir par des soins diversifiés. Je ne dis pas qu’aucune pilule doit être prise mais disons qu’au lieu d’ouvrir sa pharmacie au premier petit bobo, peut-être pourrait-on envisager une approche plus globale. Le yoga, la méditation, la respiration, les étirements, l’activité physique sont des facteurs de succès dans une prise en charge de sa santé. Mais aussi, analyser son comportement, sa routine et ses habitudes de vie peuvent nous aider à comprendre certains problèmes récurrents. Pensez au temps passé devant la télévision, l’ordinateur ou la tablette où notre posture est souvent inadéquate. Pour ma part, j’ai réalisé à quel point je m’appuyais trop sur mes lombaires lorsque j’étais assise dans mon sofa. Et où mes maux sont-ils concentrés ? À cet endroit… Rien n’arrive pour rien…

Finalement, je crois qu’il faut apprendre à connaître son corps du mieux qu’on le peut et adopter de saines habitudes de vie qui nous conviennent à NOUS. Pas le programme imposé par quiconque ou la dernière routine à la mode. Ajuster son quotidien pour y insérer de petits moments de calme et de repos permet déjà de prendre contact avec soi pour déceler les petits points de tension et pouvoir agir avant que cela ne s’aggrave. Bref, cessons de mettre uniquement entre les mains de la médecine notre état et participons à ce processus perpétuel d’équilibre. Je peux vous gager que tout le monde en bénéficiera !

 

Photo : Unsplash | Ariel Lustre