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De l’intention à l’acte

Sylvie Tittel

Une petite neige tombe lentement ce matin. J’ouvre mon ordinateur et consulte mes courriels ainsi que mon fil d’actualités Facebook. Et ça me frappe, de plein fouet. La quantité invraisemblable de publicités du vendredi fou est saisissante. Et on nous présente cela comme si c’était une première, un éventement incontournable qui changera nos vies. Pourtant, mis à part le fait de surcharger nos cartes de crédit, je ne vois pas en quoi cela pourrait être majeur.

On signe le pacte, on se dit qu’on va faire des efforts, qu’on va améliorer son impact environnemental. Alors ne nous laissons pas influencer par cette grande mascarade de la consommation qui commence de plus en plus tôt à chaque année. Avant, il y avait une journée de rabais, ensuite ils ont ajouté le cyber lundi, puis, tant qu’à y être, ajoutons les deux journées entre les deux. Maintenant, tiens, pourquoi ne pas démarrer la semaine avec des rabais? Et les poursuivre jusqu’à Noël…

Si votre but est d’acheter vos quelques cadeaux de Noël pour éviter la cohue de décembre, soit. Mais soyez prudents car la tentation sera grande. Je vous invite à vous faire une liste précise des objets de convoitise et de vous y tenir car les promotions et supposés rabais vous sauteront au visage.

Si vous avez des amis écolo, je vous invite à faire des recherches pour trouver des présents dignes de leurs efforts pour la planète. Mais il est toujours délicat de choisir car bien souvent, les gens possèdent déjà ce dont ils ont besoin. Ne tombez pas dans le piège du trendy et tentez de sonder leurs proches pour identifier ce qui pourra leur plaire.

J’ai vu de tout dans ce domaine : des kits pour faire son kombucha maison (ou son fauxmage), des cours de jardinage intérieur, des gammes complètes de produits pour le corps et la maison sans produits chimiques, des formations pour faire son savon maison et toute sorte d’assemblages de produits magnifiques pour convaincre le plus récalcitrants à faire un pas dans le virage écolo.

Cette année, avec le constat de notre piètre performance en termes d’empreinte écologique, il me semble qu’il est de mise de faire un effort, de passer le message et de faire de ce sujet une priorité. Bien entendu, utiliser des emballages réutilisables ou même zéro déchet comme un tissu est un geste louable. Mais c’est de manière générale qu’on doit repenser notre façon d’agir et de vivre.

Pourquoi ne pas opter pour la vaisselle compostable au lieu des assiettes de styromousse? On comprend qu’avoir de la vaisselle pour 30 personnes, ce n’est pas toujours possible mais il y a toujours moyen de trouver une solution! Tout comme les pellicules d’emballage à la cire d’abeille qui remplacent le fameux Saran Wrap, les serviettes de tissus au lieu des bonnes vieilles napkin jetables et les pailles réutilisables : une multitude de solutions sont là.

Honnêtement, je n’ai aucunement l’intention d’être moralisatrice ce matin mais j’ai envie qu’on se force un peu. Un petit geste à la fois, un ajustement par-ci, un changement par-là, et rapidement on se rendra compte que ce n’est pas si compliqué. Et ça fait du bien.

Personnellement, je commande maintenant mes cartes de Noël d’une artiste d’ici. En plus d’être rigolotes, je sais que j’aide une personne à vivre de son art, en plus d’éviter à mes cartes de faire un tour du monde (moins de made in China svp). Si vous avez besoin d’inspiration, je vous invite à visiter cette liste sur Etsy. C’est bien inspirant et vous avez encore le temps de commander, ou de vous préparer une liste pour le Salon des métiers d’art du Québec qui aura lieu en décembre à la Place Bonaventure.

Je vous remercie d’avance pour vos efforts et n’hésitez pas à les partager sur vos réseaux sociaux. Il n’y a rien comme le partage pour influencer positivement notre monde!

 

Photo : Unsplash | Sylvie Tittel

Tout est une question d’attitude

rawpixel

Depuis quelques jours, j’écoute les gens pester contre la température trop froide à leur goût et la neige qui arrive beaucoup trop tôt à leurs yeux. Et la seule réflexion qui me vient en tête, c’est : vous n’êtes jamais contents. Désolée pour ceux qui font partie des bougons mais j’ai la nette impression que pour certains, le chialage est devenu le sport national.

Vous me direz peut-être que cela ne me regarde pas et de laisser les « critiqueux » se plaindre en paix. Mais c’est que ça affecte tout le monde autour cette tendance à voir le négatif dans tout et ça devient lourd. On a beau tenter de rester positif et se blinder contre la vague d’idées noires, c’est qu’elle est particulièrement intense quand la saison froide s’amène.

Rappelez-vous cet été à quel point la chaleur minait le moral de plusieurs. Personnellement, je préfère le froid car je peux ajouter des couches pour contrer les frissons. L’été, à 35 degrés, il y a une limite aux vêtements qu’on peut retirer… Alors c’est très positif cette froideur! Et la nature a besoin de cette période de dormance pour se ressourcer, se reposer. Et on devrait en profiter, nous aussi, pour s’adapter et se planifier des activités adaptées à la saison.

Pour ma part, j’adore courir dehors quand la température baisse car j’ai beaucoup moins chaud et j’ai l’impression de faire le plein d’air pur. Mais vous n’êtes pas obligés d’aller jusque-là. Marcher dans la neige, c’est assez agréable, à condition d’être bien habillé. Et là, c’est un des sujets qui me titille le plus : l’hiver, au Québec, ce n’est pas fait pour être cute! Gardez vos looks de tombeur pour l’été et chaussez vos bottes avec fierté.

Je me souviendrai toujours de mon ex qui détestait l’hiver car il glissait avec ses petits souliers de bureau et avait toujours les bas mouillés à cause de la neige. Mais il n’était pas question qu’il porte des bottes adaptées (lire ici, des bottes d’hiver), ça aurait beaucoup trop altéré son style… Honnêtement, je n’ai jamais compris et je me faisais un plaisir de lui démontrer qu’un beau manteau d’hiver chaud, ça se trouve et se porte avec plaisir. Mais bref…

Tout ça pour dire que… L’hiver, ça revient à chaque année, pas toujours au même moment et ce n’est jamais pire que les autres années. On n’est juste pas prêt, c’est tout. Ou on vit dans le déni. Et quand je dis on, je ne m’inclus pas dans le groupe. Car j’ai appris avec le temps à aimer cette saison. Oui, c’est plus compliqué, c’est long s’habiller, les déplacements prennent plus de temps et plusieurs imprévus peuvent survenir. Mais franchement, il y a pire à vivre. (Un indice : Syrie)

Tout est une question d’attitude et de volonté dans la vie. Je l’ai souvent dit, on le fait son bonheur, il ne tombe ni du ciel, ni d’un billet de loto et il ne faut surtout pas attendre que les autres nous le servent sur un plateau d’argent. Il vient de l’intérieur et surtout de la façon qu’on choisit d’aborder les situations, les moments et les événements inattendus.

Sortez votre tête de votre spirale négative et demandez-vous pourquoi certaines personnes sourient dans une tempête. C’est parce qu’elles l’acceptent, cette tempête. C’est tout! Au lieu de rêver que la neige disparaisse, habillez-vous, sortez dehors et amusez-vous comme les enfants. Vous retrouverez une certaine paix intérieure et découvrirez une énergie nouvelle en vous.

Pourquoi j’écris encore sur ce genre de sujet? Parce qu’il y a encore trop de gens qui ne se donnent pas les moyens d’être heureux. La simplicité a bien meilleur goût et parfois, il faut juste trouver le bon angle pour aborder les choses. Enlevons-nous cette pression d’être toujours parfaits, accueillons la vie, au jour le jour, et dédramatisons. Ça fait tellement du bien d’être de bonne humeur…

 

Photo : Unsplash | rawpixel

Une question d’équilibre

Ian Dooley

Hier, j’ai décidé de regarder le documentaire Beauté fatale de Léa Clermont-Dion, disponible sur le site de Télé-Québec ainsi que sur Tou.TV. Je ne sais pas si vous avez eu l’opportunité de le visionner mais, malgré certaines lacunes, il démontre tout de même un rapport très troublant des femmes envers leur apparence. On y voit des femmes relativement jeunes avoir recours à la chirurgie, tout comme des actrices bien connues révéler des troubles liés à l’alimentation.

On y parle aussi de cette pression constante que l’on ressent pour être si parfaite, pour entrer dans les normes, pour correspondre aux standards de beauté dictés par une industrie toujours plus exigeante. La documentariste nous partage sa relation bouleversante avec l’image, l’alimentation, le sport et s’ouvre sur ces troubles qui ont teinté presque toute son existence.

Ça m’a fait beaucoup réfléchir sur ma propre position face aux modèles et à cette inatteignable beauté qu’on tente de nous vendre à grands coups de crèmes, de traitements et de produits miracles. Je réalise qu’on est notre propre bourreau à la base car on se laisse influencer par toutes ces entreprises millionnaires sur notre dos. Je sais, vous me direz que c’est difficile de ne pas être affectée par toute cette publicité mais on peut, déjà, à la base, faire le choix de ne plus cautionner des marques qui ne prônent pas un corps « normal » et sain.

J’ai fait le choix conscient de me désabonner de la majorité des infolettres et pages d’entreprise sur les réseaux sociaux pour éviter d’être exposée inutilement. J’ai aussi vérifié un à un les paramètres publicitaires des réseaux sociaux et choisi d’activer un rapport hebdomadaire qui m’indique le temps passé sur mon iPad. Pourquoi? Pour être conscientisée et pour me permettre de changer mes habitudes.

Je l’ai déjà mentionné, je n’aime pas les sites ou applications de rencontre. Le principe même de magasiner quelqu’un sur internet, basé sur une photo et quelques mots, m’horripile au plus haut point. Comme on dit, ça ne me rentre pas dans la tête comme méthode. Mais, il m’arrive de ressentir une certaine solitude et de me dire que je pourrais peut-être faire fi des conventions et trouver la perle rare sur un tel site. Alors je flanche, et je me crée un profil, pendant quelques heures en général.

J’ai toutefois pu constater un fait énoncé dans le documentaire : si on ne correspond pas aux standards de beauté par excellence, soit la belle blonde, on est beaucoup moins sollicitée. Pourquoi je le sais? Car j’étais blonde aux cheveux longs avant. Et je suis maintenant une rousse aux cheveux courts. On s’entend que j’ai eu pratiquement le même profil dans l’année à l’exception de la photo. Et je peux vous garantir que les réactions diffèrent largement.

Ce petit test m’a fait comprendre à quel point les stéréotypes sont encore bien présents dans notre société, malgré les discours et bonnes intentions. Depuis des décennies, on nous bombarde d’images de Barbies et son Ken alors il ne faut pas s’attendre à un changement rapide. Mais d’en prendre conscience est un premier pas dans la bonne direction. Et de refuser d’encourager une industrie abusive est une autre bonne manière d’agir.

Le documentaire Beauté fatale n’était certes pas le meilleur que j’ai vu de ma vie mais il avait cela de bon qu’il m’a fait réfléchir profondément et je me suis couchée hier en me félicitant d’être sur le bon chemin. Cette route qui m’amène à m’accepter et à cesser de vouloir être regardée comme ces canons de beauté. Je n’ai pas envie qu’on m’apprécie pour mon physique, je sais que je mérite plus qu’un clic ou qu’un like.

Ce n’est pas toujours évident de vivre dans la marge et de refuser de se corrompre pour rester soi-même. Mais pour notre propre santé mentale et pour ce qu’on va léguer aux générations futures, l’effort en vaut grandement la chandelle. On peut choisir ses combats et tant que nos choix sont clairs et assumés, et non pas imposés, je crois qu’on est sur la bonne voie vers une acceptation et un équilibre de vie.

 

Photo : Unsplash | Ian Dooley

Avez-vous été gentil?

Brandi Ibrao

Drôle de question, n’est-ce pas? Depuis qu’on est tout petit, on nous demande d’être poli et gentil avec les autres. Avouons que les rapports cordiaux sont plutôt agréables, certes, mais au-delà d’un certain plaisir que cela procure, qu’en est-il? Et pourquoi diable je vous parle de cela ce matin? Parce qu’hier, c’était la Journée internationale de la gentillesse!

Oui, je sais, j’ai complètement oublié de le mentionner hier et j’en suis désolée (#non). Mes suggestions d’hier appuyaient quand même le thème de la gentillesse, autant envers autrui qu’envers notre planète. Mais plus sérieusement, en voyant passer cette « nouvelle » sur mon fil d’actualités, je me suis demandée pourquoi on avait ressenti le besoin de nommer une journée en l’honneur de cette valeur.

Tout d’abord, on peut être gentil qu’en surface, faire semblant pour l’image ou les besoins d’une cause. Mais la gentillesse de façade ne dure pas longtemps car la vraie nature des gens a la tête dure et ressort inévitablement, dès qu’un obstacle survient. La vraie gentillesse, celle du cœur, elle, est indéfectible, attentive et émane d’une nature profonde de l’humain qui la transmet.

Avec toutes les « journées internationales » qui ont été instaurées, je crois que celle-ci a sa raison d’être car on omet parfois de se souvenir de son importance. Être gentil, ça permet de créer des liens puissants avec les autres, ce qui peut être fort utile quand on vit de durs moments ou qu’on file un mauvais coton. Les autres auront tendance à avoir plus d’empathie envers nous si nous avons été agréables avec eux.

La gentillesse est l’un des maillons les plus importants de la relation sociale. Pourtant, elle est vécue ou perçue comme une faiblesse par certains. Mais j’aurais tendance à croire que cela révèle chez ceux-ci un véritable manque d’estime de soi. En affaires, elle peut être considérée comme de la naïveté voire de la candeur. Pourtant, on peut être gentil et dur en affaires. Nul besoin d’être brusque et vindicatif pour réussir.

Dans une sphère plus personnelle, on associe la gentillesse à l’empathie, à la générosité et à la bienveillance. On ressent d’ailleurs un certain regain, une réhabilitation de la gentillesse dans notre société, après une phase plus égocentrique provoquée par les réseaux sociaux. On se décolle un peu des écrans et de l’image léchée pour revenir à l’humain, au vrai et aux valeurs d’entraide et d’écoute.

En reprenant contact avec les autres (lire ici en levant le nez de nos écrans), on se reconnecte avec la courtoisie, on porte attention et on redécouvre une certaine chaleur humaine qu’aucune plateforme en ligne ne pourra recréer. Tout ce qui entoure cela constitue le ciment de nos relations, du vivre ensemble. Et c’est ce qui nourrit le cœur.

En ce mois de novembre gris et un peu froid, on a besoin de ces sentiments riches et réconfortants. C’est ce qui nous assure un équilibre, nous tempère quand quelque chose de moins heureux survient. Savoir qu’on est entouré de gens bienveillants et aimants procure un sentiment de bien-être. Et ce qui est merveilleux avec la gentillesse, c’est qu’elle est contagieuse!

Et si on arrêtait de se méfier de tout ? Si on faisait enfin confiance et qu’on cessait de chialer un peu ? Exit le cynisme, bienvenue la bienveillance. Il me semble que ça nous ferait du bien au moral, non? Être vrai, être bon, être respectueux et être connecté, ce sont des attitudes collectives qui nous aideraient à grandir et à avancer, humainement. Être gentil, c’est un choix. Alors, on se choisit?

 

Photo : Unsplash | Brandi Ibrao

S’offrir du bon temps

Nynne Schrøder

À Noël, c’est presque immanquable, il y a beaucoup de cadeaux qui se donnent et qui s’échangent. Mais qui dit offrir ne dit pas nécessairement consommer à outrance et encourager l’abondance inutile. Et si, au lieu de simplement combler le besoin de donner pour faire comme tout le monde, on offrait du temps, des présents d’ici ou des activités? J’aime cette idée de pacte qui nous fait réfléchir et il me semble que la période des fêtes (qui s’annonce clairement avec le manteau blanc de ce matin) est très propice à montrer qu’on est capables de changer.

Si vous tenez absolument à arriver les mains bien garnies à un rassemblement festif et que votre hôte aime lire, je vous suggère des bouquins bien de chez-nous. Je viens de terminer la lecture du magnifique roman Chambre 1002 de l’incomparable Chrystine Brouillet. Véritable ode à l’amitié, enrichi de vingt recettes alléchantes, ce livre saura vous charmer et vous faire saliver.

Ma prochaine lecture sera teintée d’amour et de questionnements grâce au roman Un lien familial de Nadine Bismuth. L’auteure nous offre ici un effet miroir, sorte de reflet de nous-mêmes et de ce qu’est devenue notre existence dans ce monde où le paraître est si important, où les apparences sont trompeuses et où le bonheur a parfois un goût amer. Mélange d’intrigues et de révélations, ce livre promet de laisser derrière lui beaucoup de questions sans réponses…

Envie de quelque chose de plus intime? Les Vingt-trois secrets bien gardés du grand Michel Tremblay sauront vous faire sourire. Ensemble, ces petites et grandes révélations nous exposent le portrait de son parcours atypique, de sa grande résilience et de son amour profond pour l’humain et la langue française. Récit touchant d’une vie pas ordinaire du tout. À quand les vingt-trois prochains secrets?

La lecture n’est pas le dada de vos proches? Pourquoi ne pas leur offrir une sortie? Que ce soit un spectacle d’humour pour les extirper de leur quotidien, une visite au musée pour les émerveiller ou une prestation théâtrale, le monde des possibles est grand et diversifié. Il suffit de fureter un peu pour trouver en quelques clics des œuvres qui plairont. En rafale, quelques idées : André Sauvé et son Ça, Virginie Fortin dans Du bruit dans le cosmos, Les fées ont soif à la Salle Pierre-Mercure ou la nouvelle mouture de Broue qui traversera la province.

Sur le plan musical, je ne pourrais taire l’excellent album Inscape d’Alexandra Stréliski qui transporte et touche directement au cœur dès la première écoute. Tout comme la compositrice Salomé Leclerc qui nous dévoile son nouvel opus, Les choses extérieures. Bien ancrée, elle nous propose un assemblage de 10 perles qui vous charmeront assurément. Petites mains précieuses d’Ariane Moffatt est aussi un coup sûr selon moi. Et pour une œuvre plus classique, c’est sans hésitation que je vous propose Leonard Bernstein : A Quiet Place de l’OSM. À écouter en boucle.

Les arts et la culture ne sont pas dans vos plans? Alors tournez-vous vers les produits conçus par nos artisans grâce au Salon des métiers d’art de Montréal qui se tiendra du 6 au 16 décembre, à la Place Bonaventure. Vous y trouverez surement des jolis présents qui n’auront pas parcourus des milliers de kilomètres pour se rendre en boutique. Et pourquoi ne pas offrir des produits Zéro déchet (pellicule à la cire d’abeille et autres trucs très intéressants)? Si vous désirez inspirer vos proches, le livre Zéro déchet : l’histoire incroyable d’une famille qui a réussi à limiter ses déchets à moins de 1 kg par an apportera son lot d’idées testées et approuvées par cette chère Léa Johnson.

Alors un Noël plus écolo, ça vous dit?

 

P.S. Et de grâce, évitez les emballages cadeaux à usage unique…

 

Unsplash | Nynne Schrøder