Posts published on "septembre 2016" — Page 4

Confession d’un vendredi collant

Stefan Johnson

Hier, je l’avoue, j’ai failli. Pas dans le sens de j’ai failli manger de la viande, ou j’ai failli gagner à la loterie. Dans le sens de j’ai failli à mon engagement envers moi-même et envers mon entraîneuse. Et je le dis ici, publiquement, car je suis mitigée. J’ai consciemment décidé de ne pas aller courir car après une longue journée éreintante et un trafic monstre, j’étais épuisée. La pluie frappait sur mon pare-brise, la chaleur collante et suffocante m’irritait et je me suis dit : ce soir, ma belle, tu prends une pause et tu flânes.

Intégrer dans son horaire, dans sa routine de vie, 5 à 6 entraînements par semaine, en plus du yoga, malgré tout le plaisir et le bien-être que ça me procure, amène des défis et des contraintes. Et, en toute transparence, ce n’est pas pour me justifier que je l’énonce ici mais plutôt parce que je crois que c’est important d’en parler dans ce monde de « glamourisation » extrême et de clichés parfaits affichés sur nos profils sociaux. En d’autres mots, même la fameuse Gwyneth file lâche des fois…

Et vous savez quoi? Ça ne me dérange pas et je ne me sens pas coupable. En fait, je me sens bien car je me suis respectée et à force de faire du yoga et de vivre plus sainement, j’ai compris que de m’imposer des limites ou des choses qui ne me conviennent pas ne fait que me décourager. Si j’exige de moi-même un engagement dans cet entraînement et cette aventure vers une meilleure santé, je dois aussi m’écouter et être honnête avec moi-même. Sinon, je me sentirai étouffée, privée de ma liberté et dans ce temps-là, je lâche tout, j’abandonne.

Le mot qui revient encore dans ce contexte est : équilibre. Cette fameuse recherche de l’harmonie, de l’effet de balance entre les efforts et les mérites. Travailler dur nous rapporte un bon salaire mais prendre soin de soi nous apporte une meilleure santé autant mentale que physique. Mais à trop vouloir mettre l’emphase sur les efforts, on en perd parfois les effets positifs.

Dans ce cheminement que j’ai décidé d’entreprendre, j’ai choisi de coupler l’entraînement avec une alimentation saine et équilibrée, de revoir mes idées préconçues, de m’adapter à ma condition de santé réelle. Et autant par le fait de bouger plus que de manger mieux, je vois des résultats et c’est cela qui m’importe et qui entretient ma motivation à poursuivre dans cette voie.

Je vous disais plus haut que je suis mitigée, donc, car par le passé, j’ai entrepris certaines phases d’entraînement pour me décourager au bout de quelques semaines, comme bien des gens qui s’inscrivent à une salle de sport. Mais cette fois-ci, étant accompagnée professionnellement, je sens que c’est différent. Mon état d’esprit aussi n’est pas le même. Un peu comme quand on arrête de fumer pour vrai, je sens que cette fois-ci est la bonne.

Afin de garder cette motivation et ces acquis pour ma santé, je sais que je dois garder un rythme et une discipline de fer mais aussi, me gâter quand ça me tente et ne jamais tomber dans les extrêmes qui apportent un effet néfaste sur le sentiment de liberté.

Liberté, équilibre, sérénité… Les mots-clés qui teintent ma vie et qui, finalement, font de cette confession d’un vendredi collant (beurk le métro) un épisode plutôt positif!

Allez, bon week-end et profitez-en pour sortir dehors, la température sera bonne 🙂 Et rappelez-vous qu’un petit verre de vin, en soupant, de temps en temps, ça ne fait pas de mal!

 

Photo : Unsplash | Stefan Johnson

Bonheur, où es-tu?

Brooke Cagle

On le cherche, on l’espère, on en est nostalgique, on tente de le planifier, de le partager… Le bonheur est sans doute une des ressources qu’on aurait le plus avantage à cultiver. Car il est gratuit et surtout, il nous rend heureux. Et quelqu’un d’heureux, c’est contagieux, ça transcende et ça influence positivement le monde. Quand le bonheur frappe à notre porte, tout nous semble moins grave, moins éprouvant. Et si on arrêtait de chercher le bonheur en dehors de soi?

Car soyons réaliste, de manière pragmatique, on est tous très conscients que l’argent ne fait pas le bonheur, que ce n’est ni un objet, ni un repas et ni une autre personne ou un voyage qui nous le procurera. Bien entendu, ces artifices peuvent y contribuer mais le vrai bonheur, celui qui dure et qui fait de nous une personne rayonnant et sereine, il est à l’intérieur de nous, il émane de notre être.

Être en mesure de sentir le bonheur en soi est magnifique et cet état de grâce et de plénitude rejaillit sur le monde qui nous entoure. Nous pouvons être ce bonheur et l’apporter avec soi, partout où l’on va. Le bonheur est un compagnon léger, il nous suit, nous accompagne dans notre vie et c’est à nous de choisir de le garder avec nous. Je sais que parfois, c’est difficile de le sentir, de le prioriser face à toutes ces émotions qui peuvent nous chambouler et nous habiter mais en le retrouvant sous les décombres de nos malheurs, on se choisit.

Se choisir, c’est s’assumer, accepter qui l’on est et surtout arrêter de vouloir être ce qu’on exige de nous. La forte pression qui nous est imposée pour que l’on entre dans un moule, qu’on soit docile, à la hauteur, pour qu’on en prenne plus, qu’on donne plus, qu’on en dise moins… Cette charge sur nous nous écrase et enterre notre petite voix intérieure qui nous dit de ralentir, que tout ça n’est pas nous. Le flot de pensées qui se bousculent dans notre tête nous empêche d’entendre notre bonheur, de le sentir et le savourer.

Une des plus belles choses qui existe en ce monde est la méditation, cet état d’être où l’on observe les pensées sans les saisir, sans se les accaparer, sans qu’elles deviennent nous. Comme ma yogi préférée dirait : laissez-les défiler comme des nuages dans le ciel, sans juger, sans critiquer. Cette phrase qu’elle répète à chaque cours a fait son chemin dans mon esprit avec le temps et j’ai réussi à intégrer cette philosophie, ce moyen de me détacher de l’irréel. Être dans le moment présent, c’est être avec soi, avec son bonheur, avec son corps et son esprit, sans se laisser perturber par les pensées.

Il y aura toujours quelque chose pour nous sortir de cet état et il n’en tient qu’à nous de nous recentrer et de retrouver ce petit sac de bonheur qu’on garde en soi. Nul besoin d’attendre d’avoir un coup dur pour le retrouver puisqu’il est sans fin et qu’on peut s’y attarder autant qu’on le désire. En l’entretenant telle une pierre précieuse, on peut l’embellir, le bonifier et ainsi le partager.

Certains me diront ésotérique ce matin? Peut-être… La grisaille extérieure et les sages paroles de ma yogi m’ont amené sur ce chemin, dans cette réflexion et j’avais envie de vous la partager ce matin. Et en toute honnêteté, je crois qu’il est nécessaire de parler du bonheur, plus souvent. Entre vous et moi, peut-on vraiment trop en parler? Je ne crois pas…

Bonne journée! xx

 

Photo : Unsplash | Brooke Cagle

S’ouvrir à soi-même

Álvaro Serrano

Depuis maintenant un peu plus de 2 semaines, j’ai débuté mon programme d’entraînement avec la très énergique Sylvie Michaud. En toute sincérité, je n’aurais jamais cru que je ferais le saut un jour et que je plongerais dans la course à pied avec autant de plaisir et de motivation. Je n’ai jamais été une très grande sportive et le fait de consacrer autant de temps à une activité physique est pour moi vraiment nouveau. Oui, j’ai fréquenté à maintes reprises les centres de conditionnement physique, j’ai fait beaucoup de vélo plus jeune, je fais du yoga de manière régulière depuis plusieurs années mais de me sentir aussi investie dans un sport, c’est sans doute la première fois.

Constat? J’adore ça! Je me sens bien dans mon corps, qui suit la cadence bien dosée de mon entraîneuse, et je me sens plus à l’écoute des signes de fatigue, de tension, ou toute autre réaction qu’auparavant je n’aurais pas nécessairement pris en considération. J’ai décidé de me laisser guider, de lâcher-prise et de faire totalement confiance à cette femme qui me transmet sa passion et son énergie. Et ça aussi c’est assez nouveau pour moi mais heureusement, le tout se fait en douceur.

Ayant déjà un attrait important pour le corps humain, ses mécanismes et petits bobos, il m’est assez facile d’intégrer de nouveaux concepts, de comprendre les effets physiologiques des exercices et de demeurer à l’écoute de mon corps. Mais l’effet psychologique représente un atout indéniable de la course à pied. C’est tellement libérateur qu’on pourrait presque comparer cela à une drogue, une bonne. Au revoir le stress, bye bye les préoccupations, une fois le rythme installé, c’est au corps qu’on se consacre et à lui seul. On ne peut que vivre dans le moment présent et s’abandonner dans le mouvement.

Il y a plusieurs années, je n’arrivais pas à ressentir les choses. Émotions, sensations, tensions… Tout ça s’accumulait dans mon corps à mon insu et par moment, tout rompait, je m’effondrais, mon dos lâchait. Je n’étais pas du tout en mesure de sentir les signes avant-coureurs, trop étouffée par mon angoisse et mon anxiété. Alors c’est d’autant plus gratifiant pour moi aujourd’hui de ressentir autant de bonheur en adoptant la course à pied puisque ça représente un nouveau chemin dans ma vie.

J’ai pris soin de mon âme pendant des années et je récolte aujourd’hui le fruit de ce travail acharné. Je peux maintenant aller de l’avant, plus confiante et outillée sans avoir l’impression que tout joue contre moi. Car on ne parle pas assez de l’effet négatif et pernicieux de l’angoisse. Ne pas être capable de répondre au téléphone, de sortir, de s’affirmer, de croire en soi… Je ne souhaite à personne de vivre cela car ça vous pourrit l’existence énormément.

De l’extérieur, les gens ne voient que la carapace qu’on veut bien montrer mais nul ne se doute du torrent d’émotions qui massacre l’intérieur et fait vivre un manège incroyable à notre cerveau. Quiconque a déjà vécu ce genre d’épisode peut comprendre la détresse que cela peut engendrer.

C’est donc avec beaucoup de fierté et d’émotion que je constate le chemin parcouru et je sais que beaucoup de belles années m’attendent à pouvoir savourer la vie, profiter de ces acquis et m’ouvrir à de nouvelles choses.

Dans cette période où on veut toujours plus et mieux, je peux enfin me dire que j’ai atteint un niveau de paix et de plénitude que je croyais impossible il y a peu de temps. On se doit de se féliciter quand on le peut et je vous invite à vous sourire, à vous aimer et à apprendre à être généreux envers vous-mêmes. C’est un cadeau que l’on se donne et les fruits qui en découlent sont extrêmement plus gratifiants que n’importe quel achat. C’est comme un voyage à l’intérieur de soi, sans billet de retour…

 

Photo : Unsplash | Álvaro Serrano

Banc d’essai : déodorant sans aluminium

Dominik Wycisło

On me demande parfois pourquoi j’ai intitulé mon blogue : mes trouvailles. En toute honnêteté, je n’ai pas passé des jours à me questionner, j’ai (un peu) pris la première idée qui m’est venue et dont le nom de domaine était disponible. Pas que je le regrette mais comme j’écris majoritairement maintenant sur mes états d’âmes plus que sur des découvertes, un certain décalage s’installe entre le thème et le sujet. Mais qu’importe, l’objectif est de partager, tout simplement. Après tout, on s’en fou un peu nu nom, non?

Alors ce matin, pour respecter l’appellation futile de mon blogue, je vous partage mes recherches très approfondies (lol) sur les déodorants. Je sais, le sujet peut paraître étrange mais comme j’ai recommencé à m’entraîner de manière assez intense et qu’en même temps, je tente d’adopter des habitudes plus saines, j’ai décidé de complètement abandonner les fameux désodorisants bourrés d’aluminium, de parabènes et d’alcool qui semblent très nocifs pour la santé. Mais ohlala, ce n’est pas parce que c’est santé que c’est bon, ein!

Premièrement, laissez-moi vous dire une chose : un antisudorifique, ça change votre métabolisme sans que vous vous en rendiez compte alors du jour au lendemain, aller vers un produit moins nocif apporte son lot d’adaptation. En d’autres termes, vous devrez vous réhabituer à suer car ces foutus produits nocifs ont aussi pour effet de réduire votre transpiration. J’ai d’ailleurs lu une phrase qui m’a troublé sur le site de Canal-Vie :

Jadis considérés comme des drogues, les antisudorifiques contiennent notamment des sels inorganiques d’aluminium ou de zirconium. Ces produits agissent comme un barrage qui bouche temporairement les conduits sudoripares par lesquels la sueur atteint la surface de votre peau.

Est-on devenu des drogués du déo?? Bref, mettons l’emphase sur le futur, sur lequel on peut avoir un réel impact…

Je suis donc partie à la chasse au déo naturel qui serait efficace. Et laissez-moi vous dire que là aussi, il y a de la « gamique »… Je n’ai bien entendu pas pu tous les tester mais à force de lire, certains se sont éliminés d’eux-mêmes.

La Roche-Posay Déodorant physiologique 24h
La Roche-Posay Déodorant physiologique 24h

Étant une habituée des produits Laroche-Posay, j’étais très heureuse de voir qu’ils avaient un déodorant sans aluminium et autres éléments nocifs. Malheureusement, bien que je continue d’apprécier leurs crèmes, ce produit ne tombe pas dans mes bonnes grâces. Premièrement, attention de ne pas l’appliquer après vous être rasé les aisselles car j’ai eu droit à une belle réaction de brûlure et de picotement toute la journée. Et côté efficacité, j’ai déjà vu mieux. Je sentais constamment le besoin de vérifier et d’ajuster la dose…

 

 

 

Lavilin déodorant sports 48 h
Lavilin déodorant sports 48 h

Deuxième tentative : Lavilin. Entreprise que j’aime beaucoup pour leur lait corporel, j’avais déjà un avis positif avant même de faire l’essai de leur déodorant. Leur promesse d’une efficacité de 72 heures m’a un peu laissée perplexe mais j’ai décidé de tenter l’expérience malgré tout. Verdict? Je ne sais pas sur qui ils ont essayé pendant 72 heures ce produit mais il n’a pas dû bouger de son sofa car après quelques heures de ménage, j’avais l’impression de sentir le vieux grand-père. Désolée pour l’image mais c’est la réalité.

J’ai aussi essayé plusieurs produits conçus par de petits producteurs artisans d’ici mais aucun n’a été efficace donc, par respect pour ces marques maison, je ne les nomme pas car je donne la chance au coureur de s’ajuster et je retenterai dans quelques mois.

Je le dis d’emblée, j’ai éliminé tous ceux qui viennent en pierre d’alun et en crème dont l’application me semble difficile et le format peu pratique. Choix personnel et tout à fait subjectif me direz-vous mais si juste de le regarder, le produit me rebute, l’utilisation en sera affectée.

L'Occitane Déodorant Verveine Agrumes
L’Occitane Déodorant Verveine Agrumes

Finalement, mon dernier essai et le plus concluant de tous : L’Occitane. Malgré un prix élevé (26$), ce déodorant fait le travail là où tous les autres ont échoué. C’est-à-dire quand on travaille fort! Vous vous souvenez de la publicité : assez fort pour lui mais conçu pour elle? Et bien voilà l’impression que j’ai eue de ce produit qui fera désormais partie de mon kit de survie!

 

 

D’autres produits dont je ferai l’essai éventuellement :

  • Lavanila
  • Avène
  • Green Beaver
  • Soft&Dri sans aluminium

Je vous en donnerai des nouvelles et d’ici là, amusez-vous!

 

Photo : Unsplash | Dominik Wycisło

Trouver son équilibre

Chris Montgomery

Depuis maintenant une semaine, j’ai débuté mon programme de course et, tant qu’à moi, de remise en forme. Parce qu’à part mon yoga hebdomadaire et quelques exercices répandus çà et là dans mon horaire, je n’étais pas la plus active. Mais après avoir pris soin de mon mental pendant des années, de m’être reconnectée avec mon corps, je ressentais le besoin de bouger, de remettre en marche cette machine merveilleuse qu’est le corps humain, véhicule unique qui nous accompagne toute notre vie.

Et c’est avec beaucoup de fierté que j’ai gravi les marches du métro rapidement sans essoufflement ce matin, sourire aux lèvres et détermination en tête. Parce que maintenant je peux… Pas que j’étais une fainéante avant, je passe toujours par les escaliers « fixes » mais disons qu’arrivée en haut, je n’aurais pas nécessairement participé à une joute oratoire. En d’autres mots, mon petit cœur pompait un peu…

Sentir son corps qui se transforme, se tonifie, se renforce, est un sentiment on ne peut plus gratifiant. Et la course est un des sports qui, activant une quantité phénoménale de muscles, apporte des résultats rapidement. Je ne dis pas que la balance affichera une baisse drastique en quelques jours mais les bénéfices se font tout de même sentir. Posture, respiration, digestion, sommeil… Tous des éléments améliorés en peu de temps. De quoi donner une bonne dose de motivation pour poursuivre sur cette lancée!

Dans l’optique « prendre soin de soi », j’ai aussi pris une décision déchirante mais salvatrice pour moi : je prends une pause. Ce fut difficile pour moi de le faire mais j’ai décidé de mettre fin à mon mandat avant terme pour prendre du repos. Le sentiment de faillir à mon engagement est bien présent mais contrebalancé par celui de paix qui m’habite en pensant que pour une fois dans ma vie, je pense à moi, réellement, concrètement.

Je suis le genre de personne qui prend beaucoup soin des autres, généreuse et attentionnée, toujours disponible, 24/7… Pour autrui. Mais je suis aussi mon propre bourreau, me jugeant jamais assez ceci ou trop cela, exigeant de moi-même plus que la perfection. Mais tout cela à un prix et mon corps, bien qu’il me remercie de mes efforts sportifs, me lance aussi le message que j’ai brûlé la chandelle par les deux bouts et qu’un temps d’arrêt s’impose. Tel un entraîneur usant de son sifflet, le verdict tombe : la grande, take a break! Ou comme dirait mon ami JP : eille fille, calme-toé!

Alors, dans quelques temps, je vivrai à mon rythme. Mais quel est ce rythme au fait? C’est étrange car j’ai l’impression d’avoir passé les dernières années à courir, métaphoriquement, sans avoir de but ou de direction précise. J’ai toujours laissé la vie me guider, ouverte aux opportunités professionnelles et cela m’a bien servi jusqu’à maintenant. Mais le boulot, ce n’est pas tout dans la vie et je dois trouver un équilibre, balancer tout ça.

Je ne changerai pas du tout au tout, garderai ma confiance dans la vie et en son pouvoir de mettre les bonnes choses sur ma route et en mon instinct, que j’apprends tranquillement à mieux percevoir, sentir, écouter. Et je garderai ma couleur car s’il y a bien une chose que j’ai comprise avec les années, c’est que je suis unique, comme tout un chacun l’est.

J’ai revisité mes photos Facebook ce matin, un brin nostalgique et j’ai revu cette phrase, que je trouve toujours aussi drôle :

Peu importe les changements, je garderai toujours cette dose de folie qui m’anime et me fait du bien 🙂

Bonne journée!

 

Photo : Unsplash | Chris Montgomery