Posts published on "janvier 2017" — Page 3

S’enrichir l’âme…

Madi Robson

J’ai souvent l’impression que les réseaux sociaux prennent une place beaucoup trop importante dans nos vies, qu’ils sont aliénants et qu’au lieu de nous aider, ils nous nuisent en remplaçant certaines rencontres physiques par de futiles messages et échanges superficiels. Mais il y a aussi du bon parfois, quand on sait comment les utiliser. Après tout, qui aurait le temps de donner des nouvelles à autant de gens en si peu de temps? Pouvoir publier un statut ou envoyer un message à un groupe de personnes peut parfois d’avérer utile, tout comme organiser un événement privé pour un anniversaire.

Il y a aussi cette fonction de Facebook qui nous rappelle des moments marquants de notre vie que nous avions partagés sur notre fil d’actualité. Combien de parents vois-je republier la photo de leur bébé aujourd’hui fier élève au primaire avec émotion et fierté? Ou encore un mariage ou l’achat de la première maison. Ce sont tous des partages qui font chaud au cœur.

Ce matin, la plateforme sociale me rappelait mon voyage en Guadeloupe effectué il y a sept ans. Un magnifique trip que j’ai pu vivre seule pour découvrir un lieu florissant, des gens chaleureux et une ambiance à l’européenne dans un décor typique du sud. Mais j’ai aussi beaucoup appris sur moi-même, sur mon ouverture aux autres autant que sur mon besoin de solitude, sur la lenteur si importante par moment dans ma vie, sur mon plaisir de lire au soleil autant que celui que je ressens quand je suis dans la forêt, au Québec tout comme dans un nouveau pays. Ce contact avec la nature qui m’est si cher et qui m’a été transmis par mon paternel, fervent amoureux de ces ballades dans les bois.

Lors de ce voyage, j’ai rencontré des gens forts agréables, dont une sénatrice donc je tairai le nom par respect mais qui m’a accueilli à bras ouverts lorsque nous avons dû écourter notre expédition sur le volcan puisque la terre avait tremblé. C’est ce fameux jour où Haïti a connu l’enfer et généré plus de 200 000 victimes. Depuis ce jour, le pays vit dans la misère et beaucoup d’organismes profitent de la situation en faisant semblant d’aider, tout en se mettant beaucoup de sous dans les poches.

Bref, ce jour-là, nous, riches voyageurs caucasiens, on nous transportait en autobus climatisé pour nous ramener à notre hôtel pour assurer notre sécurité, pendant que non loin de là, des gens mourraient. Arrivés au gîte, nous avons pu constater que le personnel était en état de choc : leur famille y habitait et ils n’arrivaient pas à connaître l’état de la situation. La sénatrice et son mari ont fait des pieds et des mains et grâce à leurs contacts, ont pu fournir une quantité non négligeable d’informations aux employés, que leur pays d’origine ne pouvait pas leur donner, faute de moyen de communication…

Ce voyage m’a permis de me reposer dans une période où j’en avais grandement besoin, mais aussi de grandir intérieurement en assistant à une solidarité pure et sincère. On a parlé à ces gens avec notre cœur, on les a écoutés, serrés dans nos bras. Il n’y avait plus cette relation d’affaires, cette distance entre clients et employés. Il y avait des humains, qui aidaient ou qui souffraient, que des âmes qui s’épaulaient et tentaient de s’entraider.

L’entraide, cette valeur si rare qui réapparait malheureusement trop souvent que dans les difficultés. Parfois je me dis qu’on n’a pas compris le sens du mot entraide. Car dans l’entraide, il y a le mot entre. Entre toi et moi, entre vous et eux. Entre groupes d’humains. Ça sous-entend une relation, un échange. Et c’est dans l’échange que l’on apprend à se connaître, que l’on grandit, que l’on évolue. C’est confrontés aux changements et aux épreuves, les nôtres comme celles des autres, que l’on devient plus mature et que l’on comprend réellement le sens de la vie.

Pourquoi attend-on une catastrophe pour aider les autres? Ne peut-on pas seulement se donner comme mission de faire le bien dès qu’on le peut? S’enrichir l’âme en donnant de soi, ça me semble un si beau projet de vie…

 

Photo : Unsplash | Madi Robson

L’humain avant tout…

Lotte Meijer

Il m’est souvent arrivé dans la vie de me retrouver dans des situations où j’ai décidé de faire passer l’humain avant tout. De choisir consciemment de prioriser les gens plutôt que la technologie, l’argent ou même les plans qui avaient été définis auparavant. J’ai toujours cru que l’on grandissait plus au contact des autres et en évoluant dans l’adaptation qu’en restant entêté sur un programme élaboré à la lettre sans se poser de question.

Plus jeune, moins expérimentée et surtout moins mature, je me laissais influencer beaucoup et j’arrivais mal à me concentrer sur mes priorités. En fait, je crois que je ne connaissais pas vraiment le sens réel du mot priorités. Ni vraiment ce qu’était une valeur ou une croyance profonde. J’avançais dans la vie, un peu à l’aveugle, en espérant ne pas faire trop d’erreurs et que ce ne soit pas trop douloureux.

Heureusement, avec les années, on acquiert une certaine sagesse et surtout, on se forge des repères. Les essais-erreurs de notre parcours nous permettent d’éviter les pièges, de repérer les personnes toxiques et de se fier à son instinct, d’écouter sa petite voix intérieure qui nous guide et sait ce qui nous convient.

J’ai choisi volontairement d’écarter de ma route des gens que je jugeais malsains pour moi, des personnes qui ne m’apportaient rien de très positif et qui pouvait même, malgré moi, m’influencer négativement. Ce n’est pas toujours évident de faire ce genre de choix mais une fois la décision prise et assumée, on se sent toujours plus léger, voire libéré.

J’ai aussi favorisé certaines rencontres, ouvert mon cœur à de nouvelles personnes qui me semblaient pouvoir m’apporter du bonheur, de la paix ou du moins qui me paraissaient avoir le même système de valeur que moi. Quand on sent que nos consciences connectent, c’est toujours plaisant de partager de bons moments, des fous rires, des peines, des confidences et des moments de vie enrichissants.

Hier, j’avais un brunch à l’horaire avec 2 femmes que je connaissais bien mais pas intimement. Et plus le temps en leur compagnie passait, plus je me sentais choyée que la vie ait mis sur ma route des personnes si extraordinaires. Et je crois que ce fut aussi agréable pour elles aussi puisque notre brunch s’est étiré durant 5 heures. Sans qu’on sente que le temps file, sans avoir l’impression qu’on avait fait le tour.

Je devais aller faire ma longue course de la semaine en après-midi mais j’ai choisi de prolonger cet instant qui me faisait du bien. J’ai choisi l’humain plutôt que le plan d’origine. Et je sais au fond de moi que c’était la meilleure chose qui pouvait m’arriver. Comme on dit, quand les grands esprits se rencontrent…

Avec le recul, je réalise que trop souvent, on tend à rester collé sur notre planification de la journée, en étant fermé aux opportunités. L’épicerie, le ménage, le lavage, la popote… On se précipite pour régler notre besogne sans penser aux autres possibilités. Sans spontanéité ni un brin de folie, on avance comme des robots.

Je trouve cela un peu triste de voir à quel point on est si peu maître de notre vie par moment. Bien sûr, on a tous des obligations, des engagements à respecter mais on laisse très peu place à la créativité, à l’inventivité, aux rencontres impromptues. On choisit très rarement l’humain dans notre vie centrée sur l’avoir au lieu de l’être. Et pourtant, on sait tous qu’à la fin de notre vie, ce qu’il nous restera, ce seront nos souvenirs, nos rencontres, nos moments de bonheur, de tendresse et d’échanges profonds. Pourquoi ne pas faire le choix de mettre l’emphase sur ces précieux épisodes entre amis plutôt que sur le dernier modèle de téléphone intelligent? Je suis convaincue qu’on en sortira grandi et plus riche, dans tous les sens du terme 😉

 

Photo : Unsplash | Lotte Meijer

Entreprendre sa vie

Bench Accounting

Ces derniers temps, je vois de plus en plus de gens de mon entourage, ainsi que sur les médias sociaux, qui démarrent leur petite entreprise, qui décident de se lancer dans cette aventure de l’entreprenariat. Que ce soit comme conférencier, productrice de produits cosmétiques naturels, éleveur de chèvres ou gestionnaire d’événements, beaucoup font le choix de quitter la « sécurité » de la grande entreprise pour vivre de leur passion, à leur rythme et selon leurs convictions.

Et je dois dire que je trouve cela non seulement courageux mais très louable. Avoir l’audace de croire en son projet et faire le grand saut sans se laisser décourager, cela mérite toute mon admiration. Et je sais que les gens ont tendance à juger sévèrement ceux qui choisissent de quitter leur emploi stable pour l’insécurité de la vie d’entrepreneur. Mais, pour ma part, je trouve cela révélateur de l’état de notre société de savoir que nous avons la structure pour permettre ces réalisations plutôt que d’obliger des gens à demeurer dans une situation qui ne leur convient pas par manque de stabilité économique.

Tous ne vont pas vivre le succès, certains perdront beaucoup mais malgré le dénouement, il y a toujours un immense apprentissage dans un périple de la sorte, qui à mes yeux, vaut plus que de l’argent. On apprend à se connaître comme jamais, confronté à des prises de décisions constantes, à des défis grandioses, à des choix difficiles… Et notre façon de gérer tout cela restera gravée pour toujours en nous.

Je suis une entrepreneure un peu lâche car je ne fais que poursuivre ma route à mon compte comme je le dis souvent. Je n’ai pas changé de cap ou sauté à pieds joints dans un nouveau domaine. Mais je dois tout de même toujours me questionner sur mon mandat, sur le plaisir que j’en retire et sur mon envie de continuer. Car je me suis promis de rester dans le positif et de me respecter, et donc, que si une situation ne me plaisait pas, je devais en sortir rapidement. Tous les clients ne sont pas de grande qualité et la vie est trop courte pour en subir les affres.

J’ai en commun, avec ces créateurs, de vivre de ma réputation et on me demande souvent si mon blogue n’est pas un peu trop personnel par rapport à mon réseau professionnel. J’ai tendance à penser que la transparence dont je fais preuve dans mes propos peut non seulement m’aider mais fait de moi une personne authentique. What you see is what you get comme disent les chinois…

J’aimerais profiter de ma tribune pour féliciter tous les dirigeants d’entreprises, de la plus petite à la plus grande. Je sais que ce n’est pas toujours facile et que vous ne comptez pas vos heures ni l’énergie que vous mettez dans la concrétisation de votre rêve. Mais vous faites de nous une société meilleure, où il fait bon vivre et où chaque produit et chaque service est teinté de la couleur de son créateur.

Au-delà des grandes politiques, des échanges internationaux et des beaux discours, il y a des gens de cœur qui s’acharnent à faire vivre leur entreprise malgré les coups durs et les embûches. Et dieu sait que ce n’est souvent pas le gouvernement qui les aide, ne serait-ce qu’en simplifiant les communications avec les divers départements de son organisation (ma petite pointe critique du matin, ce doit être l’effet du vendredi 13).

Soyons fiers de nos concitoyens qui osent changer le monde à la hauteur de leur propre mission. Tâchons d’acheter plus de produits d’ici, de les rencontrer, de prendre le temps de comprendre leur démarche. Souvent, en discutant avec un producteur, un artisan, vous verrez cette étincelle dans leur regard qui vous fera sentir toute la passion qu’ils appliquent au quotidien. Et qui sait, elle sera peut-être contagieuse et vous donnera possiblement, vous aussi, l’envie de vous lancer. Vous serez alors très heureux d’avoir rencontré ces gens et de pouvoir compter sur eux pour vous conseiller dans votre propre aventure entrepreneuriale. Solidarité, respect et fidélité !

 

Photo : Unsplash | Bench Accounting

Au coeur de la nuit, tout est possible…

Dayne Topkin

Rêvez-vous beaucoup? Je veux dire, tout le monde rêve, on le sait, mais est-ce que vous vous souvenez de vos rêves? Et avez-vous parfois l’impression que votre cerveau répond à des forces surnaturelles la nuit comparativement à ce que vous êtes le jour?

Depuis quelques années, j’ai l’impression de rêver plus qu’avant ou du moins d’en être plus consciente. Je ne sais pas ce qui a déclenché cela, ni si c’est normal (qu’est-ce qui est normal, anyway), mais je trouve ça assez cocasse par moment.

Il m’est arrivé de me réveiller littéralement en riant parce que mon ma rêverie m’apparaissait trop absurde pour continuer. Ou de m’éveiller sans même comprendre ce qui se déroulait dans mon esprit et réaliser que les amalgames qui s’y produisent relèvent parfois de scénarios de films.

Et ce qui est drôle, c’est que dans la vie, je ne suis pas nécessairement celle qui a le plus d’imagination. Je suis analyste de métier donc plutôt pragmatique, avec une pensée structurée et je classifie l’information dans ma tête mieux que je ne pourrai jamais ranger mon bureau. Mais la nuit, on dirait que mon cerveau décide de faire la rumba d’idées et brasse tout ce qui a pu traverser mon esprit dans la journée pour en faire une fiesta incongrue.

Parfois, j’ai l’impression que ma tête mélange plusieurs casse-têtes ensemble et tente de faire un tout harmonieux avec cela. Je dis bien tente… Une discussion que j’ai eue dans la journée se transpose dans un épisode regardé, mélangé à des informations lues, à une liste de choses à faire, le tout, teinté d’un soupçon de souvenirs. Ajoutons à cela plusieurs rêves en parallèle qui se chevauchent et vous comprendrez que même si cela se passe dans ma tête, je suis incapable de contrôler ou même de comprendre ce qui se passe.

Je n’ai honnêtement jamais lu sur la signification ou le sens des rêves mais je pense que dans ce contexte, je préfère ne pas le savoir. Par moment, c’est clairement un exutoire si j’ai eu un échange musclé avec un client ou si ma journée a été plus tendue. Mais bien souvent, c’est tellement fictif que ça en devient déroutant.

Dommage que je ne sois pas capable de me rappeler de la majorité de mes rêves car ça ferait de superbes scénarios de films de fiction, croyez-moi!

Je ne sais pas pourquoi j’avais envie de vous entretenir de ce sujet ce matin, autrement que pour partager cette folie nocturne qui se déroule à mon insu. La bonne nouvelle, c’est que ça ne mine pas la qualité de mon sommeil, je me réveille fraîche et dispose le matin, comme si rien n’était arrivé. Mais souvent, les quelques minutes qui précèdent mon lever, à demi-endormie, je tente de recoller les morceaux en vain.

Certains me suggèreront de garder un carnet en tout temps sur ma table de chevet mais cela exigerait que j’allume la lumière pour écrire et c’est une des choses que je déteste le plus le matin, ce choc entre la noirceur et la clarté. Alors je préfère céder mes droits imaginatifs aux lutins de la nuit plutôt que de tenter de noter rapidement les relents de mes songes. Traitez-moi de lâche tant que vous voudrez, je m’assume 😉

Alors si jamais l’envie de me partager vos rêves vous prenait, je tiens juste à préciser que je ne me suis pas recyclée en interprète des rêves qui vous dictera votre avenir et que je n’ai aucune idée de ce que signifie le fait de tenter de courir sans y parvenir, ou de toujours imaginer des araignées. Tout ce que je sais, c’est que c’est vraiment désagréable comme rêve. Voilà.

 

Photo : Unsplash | Dayne Topkin

Mère nature nous gronde

Paul Green

Ce matin, à mon réveil, j’entendais les déneigeurs qui s’affairaient dehors et je savourais les quelques minutes qu’il me restait dans mon lit. Et je me suis sentie privilégiée de pouvoir travailler de la maison, surtout quand la météo se déchaîne et que les sorties de route s’accumulent plus vite que les centimètres au sol.

D’ailleurs, je me questionne toujours autant sur la lenteur dont les entreprises font preuve dans leur adhésion à ce mode de travail. L’efficacité en est prouvée depuis belle lurette et les bienfaits sur la santé des travailleurs et leur fidélité grâce à ces conditions ont été démontrés à plusieurs reprises. C’est un changement de philosophie plus qu’autre chose et j’ose croire que de plus en plus d’employeurs emboiteront le pas. Ce n’est pas en construisant des routes qu’on changera le monde, c’est en permettant aux gens de ne pas se déplacer au bureau…

La température de ce matin nous prouve encore que Mère nature est fâchée contre nous, contre notre comportement stupide envers cette Terre qui nous accueille mais ne nous appartient pas. On est comme de mauvais locataires qui saccagent les lieux et ne paient pas le loyer. Il n’y a juste pas de planète voisine habitée pour se plaindre de notre attitude…

Hier, je vous partageais des trucs écolos que j’ai intégrés à mon quotidien pour ajouter ma touche personnelle à la sauvegarde de la planète mais il y a tant à faire. Je suis du type à penser que chaque petit geste compte et qu’il faut embarquer dans la danse personnellement pour que, collectivement, on fasse une différence, qu’on influence notre entourage pour provoquer l’effet boule de neige.

De nature optimiste, j’ose rêver d’un monde meilleur, un monde où tout le monde agira en tout respect envers l’environnement, où toutes les voitures seront électriques, où plus de pistes cyclables seront aménagées et déneigées l’hiver, où les pollueurs seront punis sévèrement, où l’agriculture biologique sera soutenue et glorifiée, où chaque initiative écologique donnera des crédits d’impôts et où, dans l’esprit de chacun, le moindre déchet en sera un de trop.

En cette période où la plupart des gens prennent des résolutions qui disparaîtront avec la fonte au printemps, j’aimerais qu’on ait plutôt le réflexe de se questionner sur nos comportements personnels et collectifs pour s’améliorer, un geste à la fois. En plus d’apporter un sentiment de fierté et de participation à la société, bien souvent, cela nous permet d’économiser. C’est ce que les anglais appellent un win-win ça, non?

Que vous habitiez Montréal ou la banlieue, que vous soyez parents ou pas, diplômes fraichement en poche ou jeune retraité, toutes les conditions méritent des ajustements et je crois qu’il y a toujours matière à réflexion et à amélioration. Changer de carrière ou de pays est faisable alors j’ose croire que changer ses habitudes pour construire un monde meilleur l’est aussi.

Soyons conséquents avec nos convictions, nos souhaits pour la planète et pour les générations futures. Soyons conscients de notre impact, de notre héritage et surtout, de nos possibilités. C’est si facile de remettre à plus tard, de se dire que de toute façon, le voisin ne le fait pas, que notre municipalité n’est pas assez investie sur cet enjeu, que notre famille n’a pas les mêmes préoccupations. Peu importe l’attitude de ceux qui vous entoure, si vous, personnellement, croyez en l’importance de soigner notre planète : agissez! Je suis convaincue qu’on vous en félicitera et que vous enclencherez, sinon des changements d’habitudes, mais au moins des réflexions.

Soyons fiers de notre coin du monde, propre, sain et en parfait équilibre. Cohabitons écologiquement pour laisser à nos enfants un écosystème accueillant.

 

Photo : Unsplash | Paul Green